La Felicità, l’Italie en toute convivialité.

(c) Pauline PINOT

 

Je me suis rendue il y a quelques semaines dans un lieu assez incroyable pour tout fan de cuisine italienne, un lieu qui ne cesse de faire parler de lui ces derniers temps, et que j’ai absolument adoré. Depuis que je m’y suis rendue plusieurs personnes sont venues me demander mon avis sur ce lieu, ce qui m’a motivée à écrire un article pour partager cette bonne adresse avec le plus grand nombre de personne possible.

En route pour l’Italie !

East Mamma, Pink Mamma, Ober Mamma, Mamma Primi … Ces noms vous sont peut-être familiers, notamment si vous gambadez sur les pavés parisiens, ou peut-être les avez-vous déjà entendus ou lus quelque part. Depuis quelques années le groupe Big Mamma a su se faire une place dans la restauration parisienne en instaurant l’italian touch dans nos plats et boissons.

Big Mamma c’est 2 français et 238 italiens de 26 ans de moyenne d’âge qui se demandent tous les matins comment faire les restaurants italiens les plus sympas et conviviaux de Paris.”

La conviction principale : faire du 100% Italien, des produits de qualité provenant de producteurs italiens, des équipes souriantes à l’accent ensoleillé et chaleureux, la recette a su rapidement convaincre.

Après une adresse dans le sud, c’est vers la capitale qu’ils ont déplacé leurs fourneaux ainsi que leur squadra et le coup de coeur a été immédiat, ” On a ouvert East Mamma un 3 avril à 12h15. On était les premiers surpris mais il y avait la queue. En fait, faire des choses hyper typiques, dans la bonne humeur et dans le joyeux bordel italien, ça répondait à l’envie de plein de gens.”.

Entre restaurants et bars, c’est une dizaine d’adresses célébrant les produits italiens qui ont ouvert leurs portes, et la dernière en date sort quelque peu des codes habituels …

La feliciquoi ?

Non loin du métro chevaleret, au 5 parvis Alan Turing dans le 13ème, vous sentirez après avoir contourné de grands bâtiments d’un autre temps, des odeurs de grillades, puis celles de pâtes à pizza gonflant à la chaleur du four, suivez les guirlandes lumineuses et les rires et vous y serez : la Félicita, temple de la convivialité entre verres de prosecco, pizzas et pasta.

Ouvert il y a quelques mois, ce lieu me faisait de l’oeil, notamment par sa surface qui permet d’avoir beaucoup plus de clients et nous donne ainsi une chance de plus pour pouvoir y manger contrairement aux autres enseignes souvent bondées… C’est ainsi lors d’une belle journée ensoleillée que je m’y suis rendue accompagnée de ma cousine et ma tante. Lorsque de la famille ou des amis viennent me rendre visite sur Paris j’aime les emmener dans des coins sympas, notamment pour manger, une de mes adresses de prédilection est le Kodawari Ramen, une autre est le marché des enfants rouges (je vous ferais un article dessus dans les prochains mois). La felicità s’est ainsi ajoutée à cette liste.

Après avoir patienté une petite demi-heure sous le soleil parisien, avec de la citronnade maison pour rafraîchir cette attente, nous avons pu entrer dans ce lieu atypique. Autour de nous, une dizaine de points où se restaurer ou boire un verre, certains dans des verrières, d’autres sous des patios aux lumières chaleureuses, d’autres près de locomotives … L’émerveillement est autant dans l’assiette qu’autour.

 

(c) Pauline PINOT

 

Grande tablée et convivialité

La décoration du lieu est un des points forts du lieu, se situant d’un un grand hangar, ils ont su placer leur déco de sorte à créer différents espaces sans réelles cloisons, une sorte d’open space de la nourriture. Les couleurs sont dans les tons chauds, le lieu baigne dans la lumière à la fois naturelle et artificielle par une multitude de guirlandes. Au sol des tapis nous emmenant en voyage se mêlent au béton, les chaises sont dépareillées au milieu d’espaces aux grandes tables favorisants les rencontres autour d’une pizza ou d’un verre. Chaleureux. Convivialité. Comme à la maison.  Voici comment nous pourrions résumer la décoration. Ici pas de chichi on s’installe où l’on souhaite, on va se servir aux fontaines, on mange on rigole, on passe du bon temps.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Niveau déco, un détour se doit d’être fait au fond de la Felicità … aux toilettes. Etrange dit comme ça, mais leurs toilettes sont un de leurs endroits où l’originalité est à son comble, et où la queue ne se fait pas pour aller faire sa pause pipi mais pour prendre en photo les cabines toutes aussi intrigantes les unes que les autres.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Saveurs italiennes de qualité et en accord avec le porte-monnaie

Venons-en au plus important : la nourriture.

Une chose est sûre nous avons l’embarras du choix ! Le côté positif de ce lieu est le fait d’avoir plusieurs points de restauration proposant chacun des sortes de plats différents ainsi c’est plus fluide et le temps d’attente est reparti et ainsi moins long.

Un tableau à l’entrée, ainsi que les menus munis d’un plan, nous permettent de savoir vers où nous diriger selon nos envies du jour. Pour notre part c’est en tombant nez à nez avec une burrata des plus grandes que notre choix s’est vite précisé. En entrant, vous aurez sur votre gauche, devant le bar au comptoir rempli de bouteilles, un stand descendu du paradis, Il gran aperitivo : burrata fraiche et onctueuse, jambon de parme, parmesan, olives et pour compléter le tout, du prosecco. Niveau prix, 6€ l’assiette d’un produit (exemple une assiette de burrata bien garnie), et 3€ pour les olives et pour le parmesan. (Il semblerait que ces assiettes de produits soient disponibles que le soir maintenant). Nous avons dégusté ces bons produits assis sous la terrasse intérieure de la Caffeteria.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Nous avons complété ce début de repas par une touche sucrée en nous rendant au Panificio, pour ma part j’ai pris une tarte aux fragole (tarte aux fraises et touche de vanille), quant à ma tante et ma cousine elles ont opté pour l’incroyable tarte au citron sur laquelle trône une couche de meringue aussi grande qu’une montagne.

Les desserts proposés à cet endroit sont au prix de 5€ la part, très généreuse.

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

On y retourne quand ?

J’ai eu un gros coup de coeur pour cet endroit, tant par l’ambiance que par ce qu’on y mange et boit. J’apprécie beaucoup ce genre d’endroit sans prise de tête où tout le monde vient pour passer du bon temps, où l’on se sent comme chez soi, les gens parlent ensembles, il y a une vraie convivialité qui s’en dégage.

D’un avis commun on a été assez impressionnées par la qualité des produits, leur fraicheur, leur variété et leur quantité. Et surtout nous avons été de suite séduites par le coût très raisonnable pour des produits aussi bons.

Je prévois déjà d’y retourner rapidement !

Pour les amateurs de la cuisine made in Big Mamma groupe, ils ont sorti un livre de cuisine qui a l’air très intéressant, je pense à le mettre sur ma liste de Noël … Leur livres d’adresses italiennes est également toujours en vente.

Et vous avez vous testé la Felicità ?

Bécots ! Pauline xxx

Un autre genre de tourisme cet été sur Netflix

(c) Pauline PINOT

 

Parcourir les quartiers les plus dangereux du monde à bord d’une voiture avec le sosie de Pablo Escobar, nettoyer un corps momifié, tirer avec des armes de guerre, se promener dans des zones au taux de radioactivité encore plus élevé que Tchernobyl, assister à des exorcismes, se faire “vaudouiser”…

Dit comme ça on pourrait croire à un pitch de film, et pourtant il s’agit d’activités touristiques proposées à des touristes d’un certain genre : des amateurs du tourisme noir.

Le tourisme noir ?

Le principe de ce tourisme, comme le décrit le journaliste et présentateur de la série documentaire, David Farrier, est un tourisme qui sort des sentiers battus, permettant aux touristes de s’échapper de leur quotidien en s’approchant de la folie, du macabre et du morbide. Le tourisme noir s’étend de plus en plus aux quatre coins du monde, attirant de plus en plus de touristes désirant voir le côté obscur du monde qui nous entoure.

Un docu signé Netflix

Comme vous avez pu le voir au cours d’articles précédents, j’aime beaucoup découvrir des nouveautés sur Netflix. C’est après avoir vu l’affiche puis la bande annonce de Dark Tourist dans Netflix que ma curiosité a été piquée… Le concept : intéressant, le sujet : intriguant, il ne m’en fallait pas plus. Pitch du premier épisode : “En Colombie, David rencontre le bras droit de Pablo Escobar. Au Mexique, il assiste à une séance d’exorcisme et se joint à un circuit pour passer la frontière américaine”. A partir de là vous savez que les épisodes ne vont pas vous montrer les plus belles stations balnéaires mais plutôt l’envers du décor.

Un docu pro-trourisme noir ou anti-tourisme noir ?

Cette première saison, se dessine sous les traits d’un documentaire sectionné en 8 épisodes, de chacun environ 40 minutes. Chaque épisode se concentre sur une région, à savoir :

  1. Amérique latine
  2. Japon
  3. Etats-Unis
  4. Les Stans
  5. Europe
  6. Asie du Sud-Est
  7. Afrique
  8. Retour aux Etats-Unis.

Dans chaque épisode nous découvrons en moyenne 3 activités dans différentes villes de la région.

Nous suivons David Farrier, un journaliste Néo-Zélandais, ayant déjà travaillé sur des sujets similaires, (son documentaire Tickled, très déroutant, est notamment disponible sur Netflix). C’est à travers un format de documentaire que nous suivons son investigation du tourisme noir. Un format qui apporte une touche de réalisme en nous imprégnant au plus de l’action, avec une caméra portée qui suit David et les personnes qu’il rencontre.

Ce format nous amène inévitablement à la question du vrai, est-ce-que ce que l’on nous montre est réel ? ce format tend plus vers le réel à mon goût, ou, est-ce de la mise en scène pour attirer le spectateur et faire de bonnes retombées financières… La plupart des “activités” semblent réelles, bien qu’incroyables; cependant d’autres sont vraiment extrêmes et on peut en venir à se questionner.

Le côté réaliste des choses se lie au côté sans tabou du documentaires. Cet aspect peut plaire comme déranger, personnellement vu le propos du documentaire je trouve ça juste qu’ils aillent jusqu’au bout et montrent les choses, sinon l’impact ne serait pas le même. Cependant, il y a parfois des images ou des paroles assez dures, ce qui ne destine pas cette série à tous les publics. Le fait de tout nous montrer, nous montre également que le tabou est culturel, je pense notamment à l’épisode sur l’Asie du Sud-Est, qui est un des plus “compliqué” à regarder, nous assistons avec David à une cérémonie dans un village d’Indonésie pour accompagner le décès d’un des leurs. Une discussion avec son guide membre du village nous montre une tout autre vision portée sur la mort par ces “villageois”, pour qui voir des morts est une chose “habituelle” ce qui est en rupture de la culture européenne. Ainsi ce qui serait tabou pour notre culture, ne l’ai pas pour d’autres, et inversement.

Ce qui fonctionne, à mon goût, dans ce documentaire, c’est la position que prend David Farrier, il vient avec des doutes faces à ces activités dont il a eu échos. Il cherche à être convaincu que ces activités de tourisme noir existent, ainsi il ne nous force pas à y croire, mais nous laisse nous faire notre propre avis. Il met beaucoup en question les activités, leur présence, leur origine, et leur impact. Ainsi, ce documentaire n’est pas créé dans le but de promouvoir ce genre de tourisme, parfois extrême, mais plutôt de créer une prise de conscience. Je pense notamment à l’épisode sur le Japon où les touristes vont se balader dans des zones, où des tours sont organisés (comme on visiterait une ville touristique), mais où le taux de radiation censé être “non inquiétant” selon leur guide jusqu’à 0,20 monte dans certaines zones à 9,71… et comme seule protection ils disposent de masques en papier, ce qui revient quasi à aucune protection. Certaines de ces activités se servent de faits historiques désastreux dans le but d’attirer des touristes et ainsi se faire de l’argent, notamment la mort de JFK, où des tours sont organisés à bord de golfette avec une actrice interprétant Jackie Kennedy.. La question de la limite se pose beaucoup dans cette série, jusqu’où vont les organisateurs des attractions à touristes et jusqu’où vont ces touristes … Les limites sont bien souvent dépassées, que ce soient celles du respect, ou de l’éthique …

C’est ainsi une série assez addictive, notre curiosité est piquée et nous souhaitons en voir plus tellement certaines activités sortent totalement du commun. Chacun a ses goûts et son type de tourisme, pour ma part je le regarderais juste dans mon écran celui-ci !

Avez-vous découvert d’autres documentaires qui valent le détour sur Netflix ?

Bécots ! Pauline xxx

La Tarte Tropézienne – Salon de thé et restaurant

 

Aujourd’hui c’est sur la Côte d’Azur que je vous emmène à la découverte d’une bonne adresse food. Direction Saint Trop’ !

La star de Saint Trop’

Si l’on pense Saint Tropez on pense, stars, fêtes, soleil, le senequier, la gendarmerie, Louis de Funes … Et pour tous les gourmands on pense Tarte Tropézienne ! Née en 1955 des mains d’Alexandre Micka, la Tarte Tropézienne a depuis fait son bout de chemin jusqu’à nos assiettes, dont la mienne. Une tarte qui a su se faire sa place dans le monde de la pâtisserie et de Saint Tropez jusqu’à faire de l’ombre aux célébrités du coin.

En soit nous avons une recette assez simple, mais absolument délicieuse. Une base en brioche agrémentée de cristaux de sucre coupée en deux. Et à l’intérieur s’y glisse une crème des plus onctueuse pour parfaire le tout. L’atout de cette gourmandise est le fait qu’elle soit plutôt légère, contrairement à ce qu’on pourrait penser à première vue.

Il existe différentes versions de la tarte, notamment l’une avec des framboises, certaines sont en petit format également comme des petits macarons.

 

 

Direction la place des Lices

Alors venir à Saint Tropez nous oblige quelque peu à faire un arrêt sucré dans la journée. Habituellement j’allais à un point de vente de la Tarte Tropézienne où l’on peut acheter leurs produits, notamment leur tarte  entière ou en part. Cependant, un reportage a été diffusé il y a quelque mois, retraçant l’histoire de la tarte, son histoire et son succès. Nous y voyions dedans un salon de thé / restaurant de la Tarte Tropézienne dans Saint Tropez que je ne connaissais pas, alors pour ma venue cette année dans le coin il me fallait y faire un tour !

 

 

 

C’est sur la fameuse Place des Lices que se trouve ce salon de thé, non loin du point de vente où je me rendais auparavant. Vous pouvez y déguster leurs spécialités dans différentes salles, j’ai eu un coup de cœur pour les places en balcon donnant sur la place ! Plusieurs choses sont à la carte, vous pouvez manger de la tarte comme d’autres pâtisseries, des salades, des petits déjeuners …

Niveau prix, c’est un peu cher, on paie la renommée de la marque. Pour ma part j’ai prix une formule dessert + boisson fraîche qui m’est revenue à 10€. (La part de tarte est immense soit dit au passage).

Selon moi, cette adresse coûte un peu trop cher, mais c’est à faire au moins une fois pour tous amoureux de la Tarte Tropézienne.

Y-a-t’il des amoureux de la Tarte Tropézienne dans le coin ?

Bécots ! Pauline 🙂 xxx

Les 5 doigts de la main – Juin

Chasse au trésor

Cet article donne le coup d’envoi à une nouvelle catégorie d’articles sur le blog. Cela faisait un moment que j’avais envie de lui faire une place ici, alors la voici enfin dans votre lecture. Chaque mois je reviendrai sur 5 choses qui m’ont plut, marquée, interpellée au cours du mois précédent, cela peut être un produit, un vêtement, un film, une sortie … J’ai souvent vu cette catégorie d’article émerger sur d’autres blogs et j’ai trouvé en eux une mine d’or pour les découvertes. Donc à mon tour de vous faire découvrir des choses qui m’ont plut au cours du mois passé !

 

Beauté

 

Ce premier coup de coeur se pose ce mois-ci sur des produits de beauté qui nous viennent tout droit d’une box de chez My Little Box en partenariat avec Sessun. Cette collaboration n’a pas dû vous échapper par l’engouement qu’il y a eu autour de cette box absolument adorable qui se trouvait non pas dans une box en carton habituelle mais dans un sac à main rond en osier, une manière originale de lancer l’été 2018. J’ai ainsi découvert l’intégralité des produits que je ne connaissais pas et je dois avouer avoir été plutôt emballée.

 

 

C’est ainsi 4 produits que nous avons dans cette box, présentant les marques My Little Beauty, Palmer’s, Klorane, et Melvita.

 

 

  1. Ce premier produit est une huile protectrice à la cire d’Ylang-Ylang de chez Klorane pour protéger les cheveux du soleil. J’ai eu un vrai coup de coeur pour ce produit, les étés précédents j’appliquais une huile sur mes cheveux qui agissait après l’exposition au soleil, donc le fait de pouvoir les protéger avant l’exposition m’a plut. D’autant plus, ayant des restes de balayage, même ayant coupé mes cheveux, ces zones sont plus sensibles au soleil et sont bien contentes de pouvoir être protégées des uv !
  2. Deuxième coup de coeur, un lait pour le corps hydratant à l’huile de coco et monoï de chez Palmer’s. Première découverte de cette marque pour moi, et je suis très satisfaite du produit, il fait son travail et son odeur … DIVINE ! Je suis une grande fan de la coco et du monoï donc les deux ensemble c’est prometteur de réussite. Je vais sans aucun doute découvrir de plus prés cette marque qui m’a bien séduite.
  3. Ce produit est deux en un et je l’adore, il s’agit d’un blush à lèvres et à joues de chez My Little Beauty. J’avais déjà eu auparavant un produit de cette marque dans une box, qui me l’avait fait découvrir, il s’agissait d’un stick illuminateur absolument merveilleux ! Et une fois de plus je n’ai pas été déçue par ce produit. Pour commencer, il vous faut très peu de matière pour l’application donc autant dire que le tube va me durer longtemps et j’apprécie ça. Ensuite gros point positif : l’aspect naturel et nacré, le maquillage est très léger, il apporte une touche bronzée/nacrée à vos joues et lèvres, c’est à vous de doser pour une intensité plus ou moins prononcée. Bonus, gain de place dans votre trousse ou sac, un tube remplace un blush + pinceau + rouge à lèvre.
  4. Le quatrième produit est celui sur lequel j’émets une réserve. Il s’agit d’une huile lactée démaquillante au nectar de rose de chez Melvita. Au premier abord j’avais hâte de le tester la marque car elle me faisait de l’oeil depuis un moment. Côté démaquillant j’ai longtemps utilisé un lait démaquillant de chez Lush que j’apprécie énormément car il hydrate en même temps, puis j’ai essayé un démaquillant en baume et je n’ai pas été très satisfaite. Je suis passé récemment à l’eau micellaire de chez Bioderma, mais je pense à racheter le lait de chez Lush. L’huile démaquillante a donc été une nouveauté, elle est efficace et enlève bien le maquillage même le mascara donc sur ce point je n’émets pas de déception. C’est sur l’aspect et la texture que je n’ai pas accroché, l’huile est très grasse et l’effet sur la peau ne m’a pas plut, cependant une fois rincée, la peau est nickel sans résidu gras. Donc efficace mais pas agréable …

 

Harry Potter

Ce deuxième coup de coeur du mois nous amène vers l’univers d’Harry Potter. Un univers vers lequel je vais m’envoler en Août en me rendant aux studios après des années d’attente !! (des articles, photos et peut être vidéo reviendront avec moi de ce voyage magique..) Autant vous dire que je ne tiens plus en place. Et dans cet univers que j’affectionne depuis que je suis haute comme trois pommes, le personnage que j’affectionne le plus n’est autre que le merveilleux Dobby ! J’ai toujours rêvé de pouvoir le rencontrer et qu’il m’accompagne dans mes aventures, malheureusement je n’ai pas encore eu cette chance …

Alors pour mon anniversaire quand on m’a offert ce POP Dobby vous pouvez imaginer le petit instant de joie ultime que j’ai eu. J’avais déjà vu auparavant des pop Harry Potter, et j’avais réussi à ne pas céder, mais jamais je n’avais vu celui de Dobby, sinon je l’aurai déjà acheté. Bon maintenant je me tâte à acheter quelques Harry, Ron, Hermione, Dumbledore … pour l’accompagner … Avouez qu’il est beaucoup trop chou, il a même sa petite chaussette !!

Mode

C’est un fait, j’ai un penchant pour les lunettes de soleil assez prononcé… Ma collection est pas mal fournie on va dire, et dernièrement nous avons vu une vague vintage revenir sur l’univers de la mode, et un peu partout d’ailleurs, un peu trop même, on a frôlé les coupes mulet de peu. Une vague vintage qui s’est invitée dans les modèles de lunettes de soleil comme il se doit. Et j’ai fini par craquer sur une paire à la Matrix comme j’aime les nommer, qui sont non sans rappeler les lunettes d’Anna Scott dans Coup de Foudre à Notting Hill, qui sait peut être que ces lunettes vont me ramener un William Thacker. C’est chez H&M que je les aies trouvées en solde à 5 euros, une très bonne affaire ! (voici un modèle similaire, ma paire n’est plus disponible sur le site).

 

Magazine

Lisant mes livres en anglais depuis le collège, un de mes endroits favoris à Paris est la librairie WHSmith de Rivoli (après Shakespeare and Co qui est indétrônable !!), une vraie mine d’or !! Vous y trouvez de nombreux livres en anglais, des fictions, des livres d’histoires, d’art … Et surtout un grand rayonnage de magazines du monde entier que l’on trouve difficilement autre part. J’aime me perdre dans ce rayonnage pour faire des découvertes, et parfois de très bonnes comme avec ce magazine Tmrw – the film issue (trouvé à 12,99€). Je ne connaissais pas ce magazine, je l’ai choisi dans un premier temps car ce numéro est accès sur le cinéma, avec quelques touches d’autres sujets pour le compléter. Ce qui m’a plut est sa présentation, son style, ses sujets, dont deux qui m’ont interpelée lorsque je l’ai feuilleté, un sur Isle of Dogs, le dernier film de Wes Anderson et Don’t worry he won’t get too far on foot de Gus Van Sant, deux films que j’avais vu en salle les mois passés, et dont le dernier m’avait marqué.

Serie

Je vous avais écrit un article ces derniers mois sur un programme Netflix que j’avais absolument adoré : Queer Eye ! La saison 1 m’avait totalement emballée et les rumeurs d’une seconde saison me tenaient en haleine. Ces rumeurs se sont révélées vraies, et la deuxième saison a été shootée et diffusée il y a peu, avec 8 épisodes + 1 épisode bonus tourné en Australie disponible sur la chaine youtube de Netflix. Une saison 2 tout aussi émouvante aux côtés de nos Fab 5 toujours aussi plein de pep’s !

La saison 3 est en tournage !!!

 

 

Et vous, quelles découvertes avez-vous fait au court du mois de Juin ?

 

Bécots ! Pauline xxx

Let’s rock on the road

(c) Pauline PINOT

 

Qui dit week-end dit temps pour faire des gâteaux !

Je dois avouer que suite à avoir évoqué la possibilité de faire des cookies vendredi dernier, l’image d’un Rocky Road me rodait en tête ! Le week-end pointant son nez, je me suis tournée vers mon fidèle compagnon lorsqu’il est question de patisserie : le livre de patisserie de Tanya Burr “Tanya Bakes”. J’avais déjà testé une recette il y a quelques mois sur le blog, si une envie de banana bread vous prend je vous conseille de vous rendre ici.

Rocky what ?

Le rocky road est une de mes patisseries favorites ! La première fois que j’y ai gouté date de mon voyage en Irlande il y a quelques années de cela. Nous nous étions rendues à Powerscourt avec une amie, une balade que je conseille vivement à toute personne se rendant dans les environs de Dublin ! Après s’être trompées d’endroit, (il faut savoir que le domaine de Powerscourt est immense et nous avions mis les pieds dans l’hotel/spa de luxe au lieu du château que nous souhaitions visiter … un bon souvenir !), nous avions passé toute une journée dans le domaine de Powerscourt, suite à notre balade nous étions redescendues vers un village tout mignon en amont du domaine de Powerscourt, Enniskerry. Sur notre chemin nous avions trouvé un petit salon de thé tout droit sorti d’une maison de poupée, couleur pastel, gorgeous ! Malheureusement l’endroit à fermé… Nous avions donc décidé sans trop hésiter de nous y installer pour reprendre des forces ! Et c’est ainsi que j’y avait mangé pour la première fois une part de rocky road et là coup de coeur immédiat!

 

(c) Pauline PINOT
Pause dans un petit salon de thé – Aout 2016

 

Un mélange de saveurs !

Le Rocky road est un savant mélange de chocolat, de marshmallows et de cookies, autrement dit que des bonnes choses, le tout agrémenté de beurre et de golden syrup ! Alors oui il vaut mieux ne pas être trop regardant sur le taux de sucre présent dans une part …

Je n’en avais jamais fait moi-même auparavant, cependant dès que je croise le chemin d’un Mark and Spencer, étrangement souvent avant d’aller au cinéma, j’y achète une part, toujours un délice !

Finalement c’est une recette très simple et rapide ! Le plus dur étant de devoir attendre minimum 2h avant de le manger le temps qu’il refroidisse au frigo …

Direction les fourneaux !

Ingrédients :

Pour 8 à 10 personnes / Préparation : 15 min / Temps de repos : min 2H

Vous aurez besoin du moule carré de 20cm.

  • 150g de beurre non salé
  • 350g de chocolat noir
  • 4 tablespoons de golden syrup (personnellement je l’ai remplacé par du miel car je n’ai pas trouvé de golden syrup)
  • 250g de cookies de votre choix
  • 150g de mini marshmallows
  • Sucre glace pour saupoudrer

 

(c) Pauline PINOT

Etapes

  1. Préparez un moule carré de 20 cm avec du papier sulfurisé
  2. Faites fondre le beurre, le chocolat et le golden syrup en même temps dans une casserole a feu doux.
  3. Mettez les cookies dans un sac ziplock et émiettez-les à l’aide d’un rouleau à patisserie afin d’avoir des morceaux de cookies de taille moyenne.
  4. Versez les morceaux de cookies dans la casserole et versez y également les marshmallows.
  5. Versez la mixture dans le moule, recouvrez le moule d’un film alimentaire et déposez le au frigo pour une durée minimum de 2H.
  6. Sortez le moule du frigo, retournez le sur un plat et enlevez le papier sulfurisé. Saupoudrez le gateau de sucre glace, et découpez le en barres.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Et le tour est joué ! Reste plus qu’à se régaler !

 

(c) Pauline PINOT

 

Et vous quelles sont vos patisseries favorites ?

Bécots ! Pauline xxx

 

Connaissez-vous les Fab Five ?

 

Je vous avais présenté il y a peu une série sur Netflix, The world most extraordinary homes, présentant les maisons les plus incroyables en terme d’architecture autour du globe. Je reviens aujourd’hui pour vous en faire découvrir une nouvelle, toujours une série non fictionnelle, également un format TV, mais changement total d’univers !

Il s’agit en réalité de la deuxième saison de l’émission, la première avait pris fin en 2002, pour ma part je ne l’ai jamais vue. (Il y a également eu une version française que je n’ai pas vue). C’est donc sur les conseils d’une amie que je me suis lancée dans … Queer Eye ! Et oh que c’est additif, une fois un épisode vu on veut tous les regarder à la suite, que ce soit chez soi, dans le train, dans le métro, dans la rue …

Queer eye quoi ?

Le principe est simple, une équipe de cinq hommes gays vient à la rencontre d’hommes, ici à Atlanta, afin de changer leur vie. Ils travaillent sur un relooking de la personne mais aussi sur son environnement. Nos Fab Five ont chacun leur spécialité, et pendant 1 semaine ils viennent chacun leur tour travailler sur le changement de l’homme de la semaine.

Nos Fab Five

Jonathan Van Ness – Grooming

Sa spécialité : les soins, tant de la peau que du cheveux/barbe.

Il vient remettre de l’ordre dans les routines pas assez hydratantes des hommes. C’est un personnage à lui seul, absolument attachant, il verse très souvent une petite larme en même temps que nous.

Bobby Berk – Design

Sa spécialité : le design, l’aménagement, la déco.

C’est un magicien de la rénovation intérieure et extérieure, dans chaque épisode il ne cesse de nous épater en transformant totalement les environnements dans lesquels évoluent les hommes.

Karamo Brown – Culture

Sa spécialité : la culture, l’art de se comporter en société, le développement personnel.

C’est lui qui vient déceler les mystères des jardins secrets de nos participants. Cela nous donne plusieurs moments très émouvants. Etant un homme noir gay il se montre comme une figure de force de part son parcours aux USA face à des mentalités très fermées. Une discussion très émouvante avec un policier blanc nous montre l’impact de l’histoire des USA sur des générations d’hommes noirs.

Tan France – Fashion

Sa spécialité : la mode.

La classe et le style sont de mise avec Tan, arborant une coiffure impeccablement en place, il transforme les hommes en leur faisant prendre conscience de leur véritable morphologie qu’ils voient souvent bien plus large que la réalité. Il sait combiner à merveille des pièces les rendant plus tendances que jamais.

Antoni Porowski – Food and Wine

Sa spécialité : La cuisine et les alcools.

Séduction immédiate derrière les fourneaux avec des recettes très simples avec des touches d’originalité afin que ces hommes n’ayant jamais cuisiné plus que : passer un plat pré-fait au micro-ondes, puissent épater leur proches sans trop se prendre la tête.

Je trouve ce casting bien choisi, les 5 experts ont chacun leur propre personnalité et il y a une très bonne alchimie entre eux. Ils apportent une vraie dynamique à l’émission et plein de pep’s.

 

 

Qui est entre les mains des experts ?

Nominés par des proches, ces hommes en quête de renouveau passent pendant une semaine entre les mains de nos Fab five pour en ressortir métamorphosés.

Leurs profils sont très variés, on passe d’un père de famille à un tanguy, en passant par des jeunes entrant dans la vie active. Chacun à un parcours de vie qui lui est propre ce qui nous les rend très attachant. On remarque à travers chaque portrait que leur façon de s’habiller et de vivre peut en dire plus long que les apparences.

Les appels à l’aide viennent de leurs proches qui ne supportent plus de les voir ainsi et souhaitent qu’ils prennent plus de temps pour eux. Dans cette saison nos Fab Five relookent des hommes dans la région d’Atlanta.

Au-delà d’être un simple relooking, il y a un vrai enjeu pour ces personnes. Chaque semaine se conclut par un événement où l’homme en question va dévoiler son “nouveau lui” à ses proches.

Un vrai coup de cœur pour cette série que je vous conseille vivement !

Avez-vous également suivi Queer eye ? Si oui qu’en avez vous pensé ?

Bécots ! Pauline xxx

Remédions au mal du siècle : le sommeil !

(c) Pauline PINOT

Me voici de retour !

Comme vous avez pu le remarquer j'ai été absente ici depuis quelques semaines... Il faut dire que tout s'est enchainé entre les partiels, concours, prépa et tournages, dossiers pour stages ... J'ai préféré attendre que cette vague passe pour publier à nouveau plutôt que de publier des articles médiocres. Et toute cette masse de travail passée est un bon point d'encrage pour le thème de l'article que je vous propose aujourd'hui : Le sommeil !!

Mauvais sommeil ?

Avec tout ce travail assez divers et prenant j'ai pas mal enchainé les nuits blanches, quasi blanches et surtout mauvaises... En sortant d'un tournage il faut également réapprendre à avoir un bon rythme de vie et éviter de se coucher à 5H30, car aïe aïe c'est le festival des cernes après ça...

Comme nous le lisons un peu partout, le sommeil est perçu comme le mal du siècle, donc si vous dormez mal, pas d'inquiétude vous n'êtes pas la/le seul(e). Cependant il est temps de reprendre les choses en mains !

Phase 1 : Observation !

D'une manière générale un fait est très vite observable : vous êtes soit du soir ou soit du matin. Je m'explique, soit vous êtes plus efficace et productif le soir et donc vous avez tendance à vous coucher tard et vous réveiller tard, ou bien vous êtes plus productifs le matin et donc vous vous couchez tôt et vous vous réveillez tôt. Chacun à son propre rythme. De mon côté j'ai toujours eu tendance à me coucher tard, voire très tard, car j'arrive plus à travailler le soir, et ainsi j'ai toujours eu tendance à me lever tard le matin. Mais, je me suis rendue compte que ce n'était pas une combinaison qui me convenait finalement, et j'ai travaillé dessus pour faire évoluer mon cycle de sommeil.

Le fait de se réveiller tard présentait deux soucis majeurs : 1) la journée est beaucoup plus courte et j'avais l'impression d'avoir gâché une grande partie de ma journée. 2) en me levant tard j'avais toujours du mal à vraiment m'éveiller, et j'avais cette impression désagréable de tête dans les vapes, et une sensation d'être tout le temps fatigué.

Phase 2 : Modifications

Pour faire évoluer mon cycle de sommeil je me suis penchée sur le nombre d'heures de sommeil dont j'avais réellement besoin. Il faut savoir que tout le monde a besoin d'une dose de sommeil différente. Mais en moyenne un adulte a besoin de 7h à 8h de sommeil par nuit environ. Pour ma part, me rendant compte de mon état de fatigue après des longues nuits je me suis dit que je devais trop dormir, ainsi la meilleure solution a été de tester plusieurs durées de sommeil et je me suis rendue compte qu'il me faut au minimum 8H de sommeil et max 10H.

A partir de là j'ai fait glisser mon cycle de sommeil en me couchant plus tôt, et en conséquence je me suis mise à me lever plus tôt le matin. Tout en respectant un minimum de 8heures de sommeil.

Petites astuces pour un sommeil plus réparateur.

Afin d'améliorer mon sommeil et qu'il soit le plus réparateur possible j'ai essayé différentes méthodes assez concluantes à mon avis.

  • Délimiter l'espace nuit
  • Se préparer à dormir
  • Etre bien dans le noir sans lumières bleues des écrans
  • Adieu caféine et théine bonjour aux infusions
  • Combo brume d'oreiller + huiles essentielles
  • Soins des petits yeux fatigués

Délimiter l'espace nuit

Lorsque l'on a une pièce dédiée à son coin nuit c'est de suite plus simple, hors lorsqu'on est étudiant on est souvent dans un 1 pièce ce qui est mon cas. Pour ma part, bien que je n'aie pas de murs séparateurs, l'aménagement de l'espace nuit, notamment grâce à des meubles de rangement, le place dans un coin bien précis, et le plus important c'est que j'ai un vrai lit avec un vrai matelas !

Se préparer à dormir

C'est dans le livre de Gretchen Ruben, The happiness project, que j'ai été initiée au fait de préparer son corps à dormir. Comme je l'ai dit avant je n'aie pas de pièce dédiée à mon coin nuit, ce que je fais généralement après avoir mangé le soir, c'est de changer l'éclairage de mon appart afin de mettre des lumières plus douces afin que mon corps se prépare au sommeil. J'ai notamment investi il y a 2 ans dans une lampe en sel d'Himalaya, ces lampes ont plusieurs vertus différentes, et la lumière qu'elle diffuse est notamment plus douce et relaxante qu'une lampe basique avec une lumière assez agressive. (Choisir cette lampe a été toute une aventure ! D'ailleurs si tu passes par là Nolwenn tu dois en avoir des souvenirs ahah).

 

(c) Pauline PINOT

 

Etre bien dans le noir sans lumières bleues des écrans

Pour être réellement réparateur un sommeil doit être effectué dans un lieu sans aucune lumière, même une simple lueur de l'extérieur peut nuire à votre sommeil. Il en va de même avec les écrans, il est important d'éloigner au maximum les écrans du lieu où l'on dort. De notre temps notre nouvel ennemi est la lumière bleue qui s'en dégage. J'ai notamment arrêté de passer trop de temps sur des écrans avant de dormir, en les remplaçants par de la lecture !

Adieu caféine et théine bonjour aux infusions

Grande amatrice de thé/café/maté j'ai dû trouver des alternatives pour en consommer tard dans la journée sans que cela ne nuise à mon sommeil. La solution : les infusions/tisanes (petite pensée au sketch du Palmashow sur les infusions). Il y en a pour tous les gouts, et certaines sont notamment spécialisées dans le sommeil. Après en avoir testé plusieurs, mon choix s'est porté sur deux infusions pré-faites qui au niveau du goût et de l'effet sont celles qui me conviennent le plus :

  • Marchand de sable de la marque Clipper
  • Infusion des marmottes de la marque Les 2 Marmottes

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Place aux huiles essentielles

Cela faisait déjà un bon moment que j'utilisais de l'huile essentielle de lavandin pour dormir en étant très convaincue de son effet. Récemment j'ai jeté mon dévolu sur d'autres huiles essentielles qui prennent la forme d'une brume d'oreiller que j'ai découvert. Un peu chère à mon sens, j'ai attendu d'avoir un bon de réduction chez l'occitane pour pouvoir l'acheter, et je suis conquise !! Son odeur est fraiche et cosy et promet un doux sommeil. Pas du tout déçue de mon achat, juste le prix me parait toujours cher, à voir si cela reviendrait à moins cher de le faire soi-même avec des huiles achetées au détail !

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Soins des petits yeux fatigués

Les problèmes de sommeil se ressentent directement sur notre énergie, notre moral, mais aussi sur notre visage ... Et oui on ne peut pas passer inaperçue après plusieurs courtes nuits...

Pour remédier aux traits fatigués, et notamment diminuer ces fameux cernes, voici plusieurs méthodes :

  • Les glaçons
  • Le bleuet
  • Les masques

Les glaçons

Déposez des glaçons dans un tissu et mettez-les sous vos yeux. Attention ça réveil !

 

(c) Pauline PINOT

 

Le bleuet

Le bleuet a des effets naturels défatigants, il est un allié sûr pour décongestionner et défatiguer les yeux. Personnellement j'utilise depuis plusieurs mois l'eau florale Bleuet Messicole Bio de chez Sanoflore. J'humidifie un coton avec le produit et le dépose sur mes yeux quelques minutes, l'effet est instantané on sent un bienfait direct et un soulagement des yeux ! Je conseille énormément ce produit, niveau prix c'est raisonnable. Cette marque propose une gamme bio avec des produits de qualité et assez variés, certain un peu cher cependant.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Les masques

Pour le visage entier je conseille de faire des masques, il y en a des milliers, des fait maison, d'autres prêt à l'emploi. J'en ai testé différents, les Lush frais sont très bien, j'ai également testé récemment un de chez Séphora à l'argile que je trouve très bien, un autre à l'escargot m'a laissé cependant assez perplexe... Mais dernièrement j'ai fait l'acquisition d'un masque dont j'aimerais vous parler car il se lie avec l'astuce précédente. Il s'agit d'un masque Peel-off de chez Sanoflore, Masque du botaniste, effet nouvelle peau. Le masque Peel-off a pour concept d'être en poudre, ici le mélange se fait avec une eau florale de notre choix (exemple celle au bleuet), ainsi on obtient une texture de crème que l'on applique sur le visage. Une fois séchée le masque devient une pièce unique "solide" que l'on enlève à la main.

 

(c) Pauline PINOT

 

Alors on dort mieux ?

Avec tous ces changements, je me suis sentie plus dynamique, même si au début le réveil est plus dur quand on est habituée aux grasses matinées, une fois la phase de réveil passée, je me suis tout de suite sentie en meilleure forme. Et le fait d'avoir toute la journée devant soi est également boostant. Bien que je dore plutôt bien, ces méthodes ne sont pas non plus 100% efficaces à tous les coups, par exemple je suis très réactive à la lune et aux marées, ainsi quand c'est la pleine lune je peux être sûr que je ne vais pas pouvoir dormir pendant au moins 3 jours, et pour cela aucune solution miracle !

J'espère que ces petites astuces vous permettront de mieux dormir dans les bras de Morphée !

Et vous avez-vous des astuces pour mieux dormir ?

Bécots ! Pauline xxx

 

 

Retrouvez les produits cités dans l'article :

Partez à la rencontre de maisons extraordinaires

Amateurs d’architecture, de maison, de déco, de nature, de beau paysage … Ceci est pour vous !!

Direction Netflix

J’ai rejoint la sphère Netflix depuis maintenant plus d’un an, et je ne peux plus m’en séparer, tant pour regarder des films que des séries, des documentaires (je vous en avez cité un qui m’avait beaucoup plut il y a quelques temps).

Bien que nous pouvons trouver une vidéothèque immense sur Netflix, avec des productions du monde entier pour tous les goûts, le point principal de Netflix est de produire des créations originales, parfois remarquables, comme Stranger Things (j’ai cependant été quelque peu déçue de la saison 2…).

Une des dernières créations de Netflix, se nomme tout simplement “The world’s most extraordinary homes”. Le concept : aller à la rencontre à travers le monde entier découvrir des maisons les plus extraordinaires.

Partons à la découverte de maisons hors du commun

La série, qui vient juste de paraitre ne comporte pour l’instant qu’une saison de 4 épisodes de  59 minutes disponibles sur Netflix. La saison 2 est actuellement en diffusion sur BBC.

Chaque épisode est centré autour d’un thème : la montagne, la forêt, le rivage et sous la terre. Ce qui est très appréciable, c’est qu’en choisissant un thème par épisode, nous pouvons découvrir plusieurs maisons bâties dans des volontés similaires, et nous pouvons ainsi les comparer les unes aux autres.

Deux British amoureux d’Archi

Ce sont deux British hauts en couleurs qui nous emmènent dans cette aventure. D’un côté nous avons Piers Taylor, un architecte très reconnu, et récompensé, qui nous apporte sa vision professionnelle sur les constructions des bâtiments. Et à ses côtés, Caroline Quentin, une actrice passionnée des maisons qui elle apporte un brin de folie, plein de bonne humeur, en nous donnant son ressenti de ces maisons extraordinaires, quelles sont les émotions qui s’en dégagent. Ainsi les deux ensembles forment selon moi un duo parfait à la fois sérieux et amusant, il y a une bonne alchimie entre eux qui rend les visites des lieux très agréables, d’autant plus lorsqu’on voit leur enthousiasme et leur amour pour l’architecture.

Dans un premier temps, Piers et Caroline se rendent dans la demeure pour la visiter, la découvrir. Ce moment est toujours fantastique, ils sont comme des enfants devant ces bâtisses, et réagissent vraiment à coeur ouvert. Après avoir fait le tour du propriétaire, ils donnent leurs impressions sur le lieu (tant sur l’architecture que ce qu’il s’en dégage).

Ce qui est appréciable, est le fait que Piers explique comment la maison  a été construite et des plans 3D montrent étape par étape comment tout s’est mis en place. Il revient également sur certains points de la construction et dessine dans son petit carnet pour nous expliquer les points pouvant être parfois “complexes” à comprendre, et en dessinant nous comprenons mieux les enjeux et partis pris de ces constructions. Je salue cette initiative. Ce qui est très souvent soulevé par Piers, est le fait que ces maisons sont vraiment hors du commun, surtout de  leur point de vue  pour qui la culture anglaise les a habitué à des maisons “standards” avec 4 murs droits, une porte ici, des fenêtres ici et là.

Nos deux compères reçoivent par la suite soit le/les architectes/s ayant fait la conception de la maison, ou/et les propriétaires de la maison.

Des projets de vie hors du communs sous contraintes

Ainsi plusieurs choses sont pointées du doigt. Tout d’abord avec les propriétaires nous nous rendons compte qu’au delà de simples maisons ce sont avant tout des projets de vie voir d’une vie. Certains souhaitaient avoir la maison de leur rêve, certains voulaient habiter sur cette parcelle de terrain qui est lié à leur enfance, d’autres souhaitaient juste avoir un échappatoire à la vie active de tous les jours. Un chose est sûre, les propriétaires sont pleins aux as, toutes les constructions ne ce sont pas passées comme prévues, les coûts n’ont cessé d’augmenter et des maisons valent des centaines de millions voir plus …

Les architectes viennent nous raconter l’histoire de ces maisons et leurs conceptions, d’où sont nées les idées, qu’elles ont été les contraintes, comment tout s’est passé … Un des points communs entre toutes ces maisons est le fait de respecter l’environnement, de vivre dans la nature mais avec elle sans la détruire. Ainsi certains ont choisi de déterrer des cactus et les déplacer (en les replantant) pour construire, tandis que d’autres ont carrément adapté leur maison au terrain en faisant une maison biscornue pour ne pas venir déplacer les arbres. Certain terrain étant préservé ils ont dû se battre pour y bâtir des maisons et d’autant plus ils ont dû respecter certains critères de construction. Il est intéressant de connaître les contraintes en fonction des pays, ainsi dans les zones désertiques des USA, l’été peut être très aride tandis que les hivers très froids. Ils ont donc construit les murs avec des matériaux absorbant la chaleur le jour et la redistribuant à l’intérieur la nuit, ainsi pas besoin de chauffage. Des maisons sont dans un axe précis pour se servir de la lumière ou on contraire ne pas recevoir trop de soleil, et donc de chaleur. Certaines pièces sont à certains niveaux pour éviter d’installer des chauffages… Les conditions des chantiers sont également présentés, souvent pas favorables, par exemple en Norvège ils ne disposaient que de 7h de jour pour construire par jour, ce qui ralentissait le chantier, avec des températures très froides, la neige s’invitant très souvent.

Ces projets sont pharamineux, certains ont dû construire des routes ou des télésièges pour accéder à leur maison tandis que d’autres s’y rendent en bateau. Mais tous ont en commun le fait de respecter la nature, leurs maisons s’intègrent à elle et disparaissent pour certaine dans le paysage comme si elles n’existaient pas.

Vite la saison 2 !

Que vous soyez amateur d’archi, ou curieux, ou juste que vous aimiez découvrir des choses, je vous conseille vraiment cette série, elle se regarde très rapidement ! Une fois que l’on a vu un épisode on veut voir la suite !

Concernant la saison 2, disponible seulement sur BBC, elle fonctionne elle aussi sur le principe d’un thème par épisode, mais cette fois-ci ce n’est pas par style de construction mais par pays. Ainsi vous voyagerez aux côtés de Piers et Caroline au Portugal, en Suisse, au Japon… Avec encore une fois un lot de maisons toutes les plus incroyables les unes que les autres !

Malheureusement vous ne pouvez regarder BBC et ses replay qu’au Royaume-Uni… Il nous reste plus qu’à attendre que Netflix nous la mette en ligne, bientôt j’espère !

Y a t’il des fans d’architecture dans le coin ?

Bécots ! Pauline xxx

 

Sur les pas des Dino

(c) Pauline PINOT

Que diriez-vous de vous balader au milieu de géantes bestioles ayant marché ici il y a quelques millions d’années ?

Quel musée aujourd’hui ?

Une des choses que je préfère à Paris ce sont les musées, il y en a partout et pour tous les goûts. Bien que j’ai un grand attachement pour le musée d’Orsay où je peux y passer des heures (là où se trouve plusieurs des toiles de Rousseau), j’aime également énormément le Muséum National d’Histoire Naturelle.

J’adore l’Histoire, (je suis une grande férue d’ailleurs des documentaires sur Netflix sur les châteaux et monuments en Angleterre/Irlande, big up à celui sur Highclere Castle que je conseille aux fans de Downtown Abbey !). Alors ce musée était l’un que je souhaitais le plus voir, mais j’ai mis plus de deux ans avant d’y mettre les pieds.

Ce qu’il faut savoir, c’est que le Muséum National d’Histoire Naturelle est séparé en plusieurs galeries dont certaines sont dans le jardin des plantes. Et plus d’une fois, lorsque je suis arrivée à Paris, je passais devant sans même savoir que c’était le musée.

Le jardin des plantes est déjà très beau mais ces bâtiments ne font que le sublimer, l’ancrant dans un temps passé.

J’ai dans un premier temps visité la Galerie de l’Evolution lorsqu’une amie était de passage à Paris, pensant y trouver les fameux os de Dino dont je rêvais… Manque de pot, ils n’étaient pas là. En effet la galerie de l’évolution est sur l’évolution du vivant, animal et végétal, mais présente des animaux empaillés et non des ossements. Ce qui au début nous a mis assez mal à l’aise, avec la réflexion de, ont-il reproduit les animaux de toutes pièces, ou en est-ce des morts ? … A part cela, l’intérieur de la galerie est juste magnifique !! Et je trouve le milieu avec toutes les espèces animales très impressionnant, surtout la première fois que l’on s’y rend. Mais c’est une autre galerie qui m’a vraiment plu comme vous avez pu le comprendre.

Direction la paléontologie !

Qui n’a jamais eu envie d’évoluer dans l’univers de Ross Geller ?

Pour cela, rendez-vous à la Galerie de la Paléontologie et d’Anatomie Comparée. Une fois passées les grandes portes, vous vous retrouverez au milieu des milliers d’os, très impressionnants !

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

En bas, différentes espèces dévoilent leurs côtelettes, mais attention au côté droit de la salle si vous êtes sensible … S’y trouvent dans des bocaux de formol pleins d’organes (foies, coeurs, poumons..) mais également des foetus à deux têtes … Personnellement je ne suis pas ultra fan de ça et voir ce spectacle vers 10h du matin, autant vous dire que le vomis était très proche.

Le meilleur se situe à quelques marches de là. Une fois quelques marches gravies, vous avez dans un premier temps une très belle vue sur l’ensemble du rez-de-chaussé. Puis arrivé à l’étage supérieur, tadamm les dinosaures !! Il y en a pleins de toutes sortes, des tout petits, et des immenses. Impressionnant ! Je vous laisse en juger par vous même.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Et enfin d’autres escaliers vous emmènent vers un étage en mezzanine présentant pleins de fossiles, et vous donnant l’opportunité de surplomber tous ces Dino.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

En parlant dino, le nouveau Jurassic World sort dans quelques mois, irez-vous le voir ?

 

Bécots ! Pauline xxx

Un petit déj ? Un pause à 16H ? Un brunch ? Direction chez Marcelle !

(c) Pauline PINOT

C’est une adresse toute mimi et gourmande que je souhaite vous partager aujourd’hui. A deux pas des halles c’est chez Marcelle que je vous emmène !

A toute heure et à toute faim !

Comme vous le savez peut-être j’adore me balader dans Paris et y trouver des bonnes adresses, l’une d’elles se situe au 22 rue Montmartre dans le 1er arrondissement, et depuis que j’y ai mis les pieds je ne cesse de m’y rendre.

Marcelle c’est la nouvelle image de l’ancien Marcel, nouveau concept, nouveautés food et déco, qui a ouvert ses portes il y a un peu plus d’un an. Situé à deux pas du forum des halles, mon parcours favoris est le suivant : Sostreen & Green, Rituals, H&M home, Flying tiger, Hippy market et finir chez Marcelle ! Personnellement je ne suis pas fan des halles, le côté sympa est qu’il y a le choix en terme de boutiques (on ne peux pas dire le contraire), mais c’est juste une galère pour s’y retrouver et c’est souvent blindé de monde … Donc lorsque je m’y rends je vais juste dans les boutiques que je n’ai pas près de chez moi, notamment Sostreen & Green que j’adooore ! Et s’en suis une pause gourmande chez Marcelle pour bien terminer !

Une déco sobre et chaleureuse

Sa belle devanture blanche construite en style atelier d’artiste ne peut pas vous échapper à l’oeil, d’autant plus que dessus figure “Marcelle” en très grand. Devant se trouvent quelques places autour de petites tables toutes mimis pour les beaux jours. Une fois la porte poussée, vous avez l’impression d’entrer dans une maison, un magnifique comptoir vous met sous le nez de multiples gâteaux plus appétissants les uns que les autres. Un énorme tableau noir à lettres blanches tendance vous présente les boissons et autres choix. Niveau déco : des murs blancs qui font ressortir les éléments en bois, et en rotin, notamment de superbes suspensions. Entre chaques étages (il y en a deux) vous trouvez de beaux escaliers avec des déco de paliers très sympa. Le premier étage en mezzanine aborde un esprit “diner” avec des banquettes, dans la continuité du style du restaurant. Au deuxième étage, l’esprit convivial est de mise avec une grande table en bois pouvant accueillir de nombreuses personnes, ainsi qu’une table ronde. Niveaux déco, pleins de petits miroirs en rotin, de suspensions, et même une tête de biche …

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

On commande ?

De mon côté j’y suis allée plusieurs fois, et j’ai ainsi pu goûter à plusieurs de leurs gâteaux. Le choix est assez vaste il y en a pour tous les goûts ! Mention spéciale pour les crumble, marbré, et Banana bread!!

Vous pouvez soit manger sur place ou bien prendre à emporter. Si vous choisissez de manger sur place, une fois la commande prise vous irez vous installer à un étage accompagné de votre numéro en main. Quelqu’un vous apportera votre commande, et vous réglerez le tout à votre sortie.

Pour ma part j’ai toujours été sur la grande table, et je trouve ça super sympa comme ambiance, bien que quelque peu étrange au début lorsque l’on n’ est pas habitué.  Au centre de la table se trouvent pleins de verres, couverts, eau… en libre service. C’est très convivial. Petit plus : des prises sont à proximité.

Question prix : les prix reviennent au même que les autres adresses dans ce style, tendance, comptez 4€ la part de Banana bread (assez copieuse) par exemple.

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

(c) Pauline PINOT

 

Alors si vous êtes dans les environs, je vous incite à aller y manger un bout, vous ne serez pas déçu(e)s !

Et vous quelle est votre adresse favorite sur Paris ?

Bécots ! Pauline xxx