Jamie Oliver – Speedy spiced prawn soup


Aujourd’hui je vous emmène derrière les fourneaux !

Comme je l’avais dit dans mon article sur le Banana bread, depuis que j’ai emménagé dans cet appart je cuisine beaucoup plus qu’avant. Et par conséquent j’aime avoir des nouveaux livres de recettes pour tester de nouveaux plats.

Jamie Oliver dans la place !

Si vous vous intéressez ne serait-ce qu’un peu à la cuisine et notamment en outre-Atlantique, son nom doit vous dire quelque chose. Jamie Oliver est, depuis maintenant plusieurs années, le roi incontesté des fourneaux, avec à son actifs plusieurs livres de cuisine, des émissions, des restaurants, un site, une application …..

Autant vous dire que lorsque j’ai appris la sortie de son dernier livre il est directement atterri sur ma liste de Noël !

(c) Pauline PINOT

Son dernier livre, 5 ingrédients, a un concept simple et attractif : 130 recettes à base de seulement 5 ingrédients. Des recettes très diverses dont une grande partie est saine pour le corps (70% des recettes), et quelques autres un peu plus gourmandes (les desserts et pâtisseries). Nous trouvons également à la fin du livre une partie pour nous aider à manger équilibrer, et mieux comprendre comment avoir de bonnes valeurs nutritives.

En premier lieu Jamie nous donne une liste de 5 ingrédients indispensables que l’on doit avoir dans nos cuisines, qui viendront s’ajouter aux 5 ingrédients de chaque recette. Sel, poivre noir, huile d’olive, huile d’olive extra vierge et vinaigre de vin rouge. Il nous conseille également sur notre consommation des viandes, poissons et condiments, ainsi que comment manger sain pour nous et pour l’environnement.

Le livre se découpe en plusieurs catégories de recettes, chaque partie rassemblant des recettes autour d’un produit principal :

  • Salades
  • Pâtes
  • Oeufs
  • Poulet
  • Poisson
  • Légumes
  • Boeuf
  • Porc
  • Mouton
  • Riz et nouilles
  • Dessers et pâtisseries

(c) Pauline PINOT

Ce qui me plait particulièrement dans le livre, c’est la présentation très sobre et claire des recettes. Deux pages sont consacrées par recette, une photo appétissante du plat fini occupe la page de droite, et sur la page de gauche nous avons les informations relatives à la recette.

  • Le nom de la recette
  • Une photo de chacun des 5 ingrédients dont nous aurons besoin
  • La quantité de la portion
  • Le temps de préparation
  • La liste des ingrédients + quantité
  • Les étapes détaillées de la recette
  • Une barre sur laquelle figure les informations nutritives de la recette

(c) Pauline PINOT

Sortez le tablier !

Après avoir testé plusieurs des recettes, je souhaite en partager une avec vous : la soupe épicée aux crevettes !

La recette est pour 4 personnes et vous demandera 20 minutes de préparation.

Pour cela vous aurez besoin de :

  • 250g de petites crevettes cuites et décortiquées
  • 150g de riz basmati
  • 8 poireaux
  • 2 tablespoon de pate de curry
  • 1 canette/brique de lait de coco allégé

Plus les ingrédients indispensables :

  • 1 tablespoon d’huile d’olive
  • Sel
  • Poivre
  • Eau

En ce qui concerne les mesures, 1 tablespoon équivaut à 15ml et 1 tins’ = 1 cup = 240ml

Pour le lait de coco, j’ai utilisé de la crème liquide de coco allégée car je me suis trompée en faisant mes courses, cela a tout de même fonctionné.

La pâte de curry que j’ai acheté (dans le rayon des produits cuisine du monde au Monoprix), est une pâte de curry tikka masala de la marque Pataks.

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

Première étape :

Placez les crevettes dans un bol d’eau froide afin qu’elle se décongèlent.

Deuxième étape :

Dans une casserole / cocotte (une poêle fait également l’affaire si les bords sont assez relevés) faites revenir le riz (séché par avance) à haute température pendant 3 minutes en remuant régulièrement.

(c) Pauline PINOT

Troisième étape :

Découpez finement les poireaux.

(c) Pauline PINOT

Quatrième étape :

Ajoutez dans la casserole 1 tablespoon d’huile d’olive, les morceaux de poireaux et la pâte de curry. Laisser mijoter pendant 2 minutes.

(c) Pauline PINOT

Cinquième étape :

Ajoutez le lait de coco, ainsi que 2 1/2 tin’s d’eau. Laissez bouillir pendant 12 minutes, en remuant seulement de temps en temps.

Sixième étape :

Au bout de 6 minutes (sur les 12 minutes à laisser bouillir), égouttez les crevettes, découpez-les en petits morceaux et ajoutez les dans la soupe.

(c) Pauline PINOT

Septième étape :

Une fois que le riz est bien cuit et que la soupe a la consistance que vous souhaitez, goûtez, assaisonnez avec du sel et du poivre, et vous pouvez servir la soupe !

Pour ma part j’ajouterais un peu plus de coco la prochaine fois ainsi qu’un peu plus de pâte de curry, car ce n’était pas assez épicé à mon goût (après j’aime quand c’est très épicé).

La recette est très simple et surtout très bonne, propice au voyage!!

Je vous laisse à vos fourneaux !

(c) Pauline PINOT

 

De votre côté connaissez-vous de bonnes recettes de curry ?

Bécots ! Pauline xxx

Dépaysement au coeur de Paris

(c) Pauline PINOT

 

Un de mes objectifs de cette année est de partir plus à l’aventure au-delà de nos frontières, malheureusement ce mois-ci a été plutôt surbooké et je n’ai pas pu partir en escapade …

Cependant j’ai trouvé une alternative pour voyager sans partir de Paris !

Et oui, dans le 6ème arrondissement, niché entre la Seine et Saint Germain, se trouve un petit endroit propice au dépaysement.

RDV au 29 rue Mazarine 75006 Paris.

Je devais m’y rendre il y a quelques mois mais après quelques mésaventures je n’avais pas pu y mettre les pieds. C’est ainsi samedi dernier, lorsqu’une amie est venue sur Paris, que l’occasion s’est toute trouvée !

C’est dans une rue banale qui ne paie pas de mine que ce trouve un restaurant, que dis-je, un temple du ramen !

Nous sommes arrivées dès l’ouverture à 12H, car il faut savoir que la patience est une des clés pour y manger un de leur délicieux ramen. Par chance, n’étant que deux, nous avons attendu à peine une dizaine de minutes, et nous avons pu dépasser les groupes affamés qui attendaient pour 4/5 personnes.

Vu de l’extérieur nous apercevons au travers de la devanture vitrée un tout autre univers que le Paris qui nous entoure. Une fois la porte franchie nous nous trouvons dans une ruelle japonaise dans la pénombre où des lueurs de lumières chaudes s’échappent des lanternes qui ponctuent notre traversée. Un petit stand avec des gadgets, masques, banderoles nous accueille sur notre droite, des clients s’installent pour manger devant. Nous avançons ensuite en longeant une cuisine ouverte sur laquelle donne une tablette où des personnes dinent en tête à tête avec les rois du ramen. Dans le fond de cette ruelle, de grandes affiches, lanternes, enseignes lumineuses éclairent les personnes attendant leurs mets accoudées à des tables faites de caisses de saké.

De notre côté, on nous invite à grimper quelques marches en bois nous emmenant sur un petit palier. On nous invite à passer derrière deux pans de rideaux en soi, et nous voici dans une maison nippone, aux couleurs clairs et apaisantes. Des panneaux japonais nous entourent, quelques tables sont installées dont une grande sur laquelle nous sommes conviées.

A nos côtés des personnes de différents horizons : France, Japon, Angleterre, Amérique latine.

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

Ramen ? Kesako ?

Une fois les cartes en main, une question s’est vite posée… comment ça marche ?

N’étant pas des pros du ramen, nous n’en avions jamais mangé, nous avions du mal à comprendre ce qu’il y avait vraiment dedans (bien que c’était clairement écrit dessus), nous avons donc demandé quelques informations à la dame qui s’occupait de nous, dont je salue la patience car il nous a bien fallu un bon quart d’heure pour choisir ce qu’on allait commander.

La carte propose des ramens auxquels nous pouvons ajouter des suppléments, et pour chaque ramen le chef a écrit une idée de « composition ».

Le ramen, dont la recette est vieille de plus de 100 ans, est en soit composé d’une soupe / bouillon (fait ici avec des poulets fermiers jaunes des landes), dedans nous y trouvons des nouilles (faites maison avec le blé de leur propre champ), il peut y avoir de la sauce dites « tare », de l’huile, et du topping.

Au kodawari ramen, plusieurs ramen assez divers sont proposés, pour ma part j’ai hésité entre deux ramen avant de porter mon choix sur le ramen de saison le Potimarron Paitan ramen, au prix de 14€, qui est composé d’une soupe de potimarron, huile de cèpe, légumes de saison (2 tranches de potimarron, 2 tranches de betteraves, des pousses de bambou, du salsifis) ce ramen est leur ramen végétarien. Pour ma part j’y ai ajouté en supplément 2 tranches d’échine de porc fermier basque, dites Chashu de porc au prix de 3€.

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

Verdict :

J’ai été agréablement surprise par ce ramen assez doux, toutes les saveurs se mariaient bien ensemble. En ce qui concerne la façon de le manger, on était un peu en galère face à des grandes tranches de porc versus deux baguettes… Niveau quantité, c’est très copieux, et personnellement avec mon petit estomac je n’ai pas pu finir. Rapport qualité prix, je trouve que c’est raisonnable.

C’est donc une très bonne découverte, tant sur le lieu que sur les plats proposés, je conseille vivement cette adresse, et je compte y retourner rapidement !

Il y a t-il des fans de ramen prami vous ?

Bécots ! Pauline xxx

‘The noblest art is that of making others happy’ – P.T Barnum

J’avais prévu pour aujourd’hui un article totalement différent, mais suite à la projection d’un film, changement de programme !

Et le film que je souhaite mettre en avant aujourd’hui est sorti sur nos écrans il y a deux jours apportant avec lui une vague de positivité, de force et de bonne humeur !

The greatest showman la cure de bonne humeur.

Après des mois à patienter en voyant des photos du tournage, j’ai enfin pu voir The greatest showman!  Je tiens à placer ici l’information que c’est le premier film de Michael Gracey en tant que réa, le mec débute très très bien, à suivre !

The greatest showman vous embarque pour 1H44 de film, dont vous en sortez avec l’envie de conquérir le monde !

Après avoir vu des films décevants dernièrement au cinéma (énorme déception devant Le grand jeu …), cela fait du bien de voir un film entrainant, accrocheur, positif, réussi tant sur l’écriture que la mise en scène, l’univers, l’esthétique et la musique … La musique !! Je l’ai vu 2 fois en deux jours, et j’y retourne la semaine prochaine …

Embarquez pour le spectacle !

Le plus compliqué ici va être de synthétiser ma pensée, et faire court, car je pourrais en parler pendant un bon bout de temps de ce film !

Le scénario :

J’ai trouvé l’histoire bien construite, les éléments s’enchainent bien et ne nous laisse pas avec des endroits où l’on se perd.  Le scénario reste après tout assez prévisible, les événements et actions qui s’y produisent sont prévisibles, l’histoire ne nous surprend pas dans le sens où il n’y a pas de gros turning point ou de renversement que l’on ne voit pas venir à l’avance. Mais personnellement cela ne m’a pas trop dérangé. L’histoire est simple à comprendre et à suivre, ce n’est pas un film qui va vous manipuler l’esprit ou vous rendre actif dans l’histoire, vous êtes devant comme un spectateur du show, ce qui peut gêner certains. Le film passe très vite, le rythme est assez dynamique, je n’ai pas trouvé de moment de latence.

L’exposition du film m’a beaucoup plu. Le fait est que le film traite l’histoire de P.T Barnum de sa jeunesse à sa gloire, mais on ne perd pas de temps bêtement à installer toute la jeunesse pendant 1H. Ici c’est en quelques brèves minutes que toute l’enfance de P.T Barnum nous est présentée, en nous donnant les éléments clefs qui le caractérise bien et qui font échos à des éléments qui interviennent plus tard dans le film. On y découvre des liens entre personnages, mais aussi on nous présente déjà ce souci principal, qui est d’appartenir à une classe sociale, et les limites que cela impose. Le fait de suivre P.T Barnum depuis son enfance nous le rend d’autant plus attachant car nous savons d’où il vient, quel est son chemin, ses buts, les obstacles qu’il a dû franchir, et cela souligne la détermination de cet homme.

Les personnages, bien que nombreux, sont bien présentés, chacun son identité, avec juste quelques-uns vraiment mis en avant afin de ne pas nous perdre dans miles sous-histoires différentes. On voit une évolution chez des personnages, notamment chez P.T Barnum, envers qui notre empathie s’écroule totalement à un moment. C’est au contact des uns des autres qu’ils évoluent et avancent ensemble.

Le thème central est l’acceptation, l’idée de se faire une place dans une société n’étant pas forcément ouverte d’esprit, surtout à cette époque. Le film dresse ici un beau message, montrant que les différences sont des forces et non des fardeaux. Le film montre également la force de la détermination, comment de rien nous pouvons atteindre les étoiles, à force de volonté et de croire en soi. Après avoir vu le film on a envie de foncer réaliser nos buts. J’ai beaucoup aimé ce film notamment pour cette force qu’il donne, ce positivisme, c’est un énorme coup de boost.

L’image :

Tout d’abord je salue l’identité visuelle du film, nous avons ici tout un univers très travaillé tant sur le décor, les costumes, les accessoires … L’univers proposé nous embarque directement à entrer dans l’aventure.

Un esprit de tableau est présent, reprenant les influences des vieux films des studios avec des toiles tendues pour décor. L’esthétique rappelle directement les anciennes comédies musicales, notamment avec la scène de danse sur le toit avec les draps étendus tout comme la danse entre les fumées des trains.

Pour un premier film en tant que réalisateur j’ai trouvé la mise en scène très judicieuse et dynamique, valorisée par un montage qui sert à la fois l’histoire et le rythme. Nous retrouvons des motifs de montage récurrents à travers le film, notamment ces passages d’une scène à une autre en construisant une continuité entre des lieux différents par le biais de mouvements.

Les séquences de chant et de danse sont tellement entrainantes ! Pour le coup nous sommes dans de la comédie musicale pure et dure, à comprendre par ici qu’il n’y a pas toujours de justification de la chanson. Bien souvent les personnages se mettent à chanter comme ça, parfois en plein milieu d’un dialogue. Donc cela peut en rebuter certains. J’ai trouvé qu’il y avait une vraie énergie se dégageant de ces scènes. Les chansons sont bien écrites et entre trèèèès rapidement dans la tête,  je vais me répéter, mais elles sont très entrainantes. Les actions et danses subliment totalement ces instants de chant. La BO du film est en boucle chez moi ! Achat du vinyle prévu dès sa sortie en mars !

Niveau cast : top ! J’avais quelques réticences vis-à-vis du cast et finalement je le trouve bien choisi, Hugh Jackman interprète P.T Barnum avec brio ! Et il est intéressant de voir Zac Efron dans un rôle un peu plus mature que sauveteur des plages et voisin à la tête d’une sororité .. Ce qui est très appréciable à mon goût c’est l’investissement des acteurs, dans leurs jeux, les chants, les danses, et acrobaties. J’aime voir cet investissement dans le travail, cela rend encore plus vrai leur jeu à mon goût.

Je vais m’arrêter là car je pourrais en parler encore longtemps !

Je vous laisse avec quelques-uns des moments qui m’ont marquée :

  • La séquence dans le théâtre lors de la première représentation de Jenny Lind, qui est pour moi un des moments les plus forts du film où l’on sent que tout va basculer, les émotions sont chamboulées tout comme les relations. Ce moment est assez intense avec cet immense rideau rouge, j’ai eu en échos dans la tête la scène de chant dans le théâtre dans Mulholland drive de David Lynch, durant laquelle la charge émotionnelle ne fait que monter.
  • Les séquences de prestations de toute la troupe dans le cirque sont également des explosions de joies où l’on en prend pleins les yeux. Il y a une telle énergie qui s’en dégage que nous avons envie de nous joindre à eux !

The greatest show ?

Donc vous l’aurez compris, j’ai adoré ce film ! Si il y avait des améliorations à lui donner ce serait de plus nous surprendre au niveau du scénario, et régler deux trois détails sonores (le bruit des impacts était un peu trop présent pendant certaines chansons, notamment lors de Rewrite the start, lorsque Philip et Anne font de la corde/cerceau.

Et vous avez vous vu ce film ?

 

Bécots ! Pauline xxx

Quand la danse s’empare du grand écran

Rencontre des différents arts au cinéma

Le cinéma est un peu comme mon deuxième chez moi, j’y passe énormément de temps, notamment pour y voir des films, des bons comme des mauvais (ça arrive), mais aussi pour y voir des ballets, et des concerts.

Le fait est que le cinéma permet d’accéder à l’inaccessible, dans un sens de par les films nous vivons des aventures qui parfois ne pourraient pas nous arriver. Mais il nous permet aussi d’accéder à l’inaccessibilité de choses bien plus réelles, comme voir un ballet en direct du Bolshoï de Moscou ou voir le live du concert de Hans Zimmer à Prague (j’en suis encore sur le cul).

Bien que le cinéma se révèle être une sortie cher (surtout sur Paris), cela reste plus abordable qu’une place de concert ou de ballet. Bon au détriment de l’énergie et de l’atmosphère que provoque ces événements en live, j’avoue.

Un air de Casse-Noisette

Etant une très grande fan (le mot est faible) de Noël, j’aime également tout ce qui l’entoure, de la musique de Noël aux films de Noël en passant par la nourriture et les tasses en forme de père Noël ! La magie de Noël se trouve également dans la danse et notamment dans le ballet de Casse-Noisette. Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire, elle se déroule au réveillon de Noël pendant lequel le parrain de Marie lui offre un Casse-Noisette. Minuit passé, Casse-Noisette vole au secours de Marie menacée par l’armée du Roi Souris. Vainqueur, Casse-Noisette se transforme en un beau prince et emmène Marie à bord de son bateau magique vers le Royaume aux délices. Tout est festif jusqu’à ce que ce Royaume ne devienne qu’illusion.

Ayant fait quelques années de danse j’ai toujours été émerveillée par les grands ballets, cependant, au vu du prix que coûte une place je n’ai jamais pu en voir un en vrai. C’est donc sans hésitation que j’ai ainsi pris ma place pour aller voir Casse-Noisette filmé en direct du Bolchoï de Moscou.

La troupe

Cette représentation date de 2014, et était en deux actes.

Musique de Piotr TCHAÏKOVSKI

Chorégraphie de Youri GRIGOROVITCH  D’après Marius PETIPA

Direction musicale Pavel KLINICHEV

Dans les rôles nous avions :

  • Marie : Anna NIKULINA
  • Casse-Noisette : Denis RODKIN
  • Drosselmeyer : Andrei MERKURIEV
  • Le Roi Souris : Vitaly BIKTIMIROV

Accompagnés du Corps de Ballet du Bolchoï.

La réalisation était assurée par Vincent BATAILLON et la soirée était présentée à Moscou par Katya NOVIKOVA

Et la magie opéra

Je m’y suis rendue avec une appréhension concernant l’immersion du public dans le Ballet, car lorsque l’on se rend dans un théâtre, voir une pièce, un opéra, ou un ballet, nous ressentons l’énergie de la salle : le public, la splendeur du lieu, les décors, l’énergie des personnes sur scène, l’énergie des musiciens, et le son qui nous provient en direct. Où de notre place nous avons un regard d’ensemble sur la scène, nous sommes libres de regarder où l’on souhaite, bien que notre regard soit dirigé par le mouvement, il nous reste la totale liberté de regarder le plafond à tout moment si l’on souhaite. Il y a une certaine unité qui se forme entre la scène et la salle. Or au cinéma, dans un premier temps nous sommes dans une salle loin des belles moulures et dorures, nous n’avons pas d’énergie provenant de la salle, juste l’odeur des pop-corn… quoique les sièges sont peut-être un peu plus confortables (1 point). J’avais peur qu’une barrière se forme vraiment à cause de l’écran et de la réalisation qui finalement nous oblige à voir quelque chose et rien d’autre, et également de la musique qui n’était pas jouée à nos côtés.

Niveau musique, le son était relativement bien réglé, et TCHAIKOVSKI nous plongeait directement dans le ballet. Ca ne vaut pas le son que l’on peut avoir au Bolshoi, mais bon ce n’est pas le même prix.

Niveau réalisation, finalement le voir au cinéma a un avantage, c’est que grâce à des plans serrés nous pouvons voir de plus près les danseurs et capter encore mieux leurs émotions, leurs expressions, voir les détails des décors, des costumes, voir les mouvements en détail jusqu’à leur fin… Ce qui est très appréciable, contrairement à lorsque l’on se situe loin de la scène dans un théâtre. Ces plans rapprochés nous permettaient finalement d’entrer encore plus dans le Ballet en se sentant proche du corps de Ballet. Loin d’être juste un tableau filmé. J’ai trouvé que le montage alternait bien entre des plans d’ensembles qui nous permettaient, comme des spectateurs de théâtre, de voir la scène dans son intégralité et pouvoir laisser voguer notre regard à notre guise, et avec des plans plus serrés nous pouvions comme je l’ai dit avant, nous sentir plus proches des danseurs. Il y a eu un bon dosage.

Niveau décor/costumes, juste impressionnant ! Gros coup de coeur pour les costumes lors des danses au Royaume des délices, qui étaient très variés et reflétaient bien les différentes cultures représentées. Le décor de la maison au réveillon de Noël donnait envie de manger de la dinde devant la cheminée. J’ai aussi adoré le moment avec le bateau qui vogue dans le ciel, c’était très beau.

Avant et entre chaque parties, la présentatrice nous donnait pleins d’infos sur le Ballet, son histoire, mais aussi les danseurs, c’était très intéressant d’en apprendre davantage !

Concernant les danseurs, j’ai était scotchée tout au long du ballet ! Leur réputation ne vient pas de nulle part, on sent que ce sont des acharnés de travail qui ont des milliers d’heures de travail derrière eux pour atteindre cette technique absolument incroyable. Et le plus impressionnant c’est qu’ils ne montrent absolument pas la difficulté des mouvements qu’ils effectuent, ils sont dans une grâce et une légèreté absolue, rendant le moindre pas (qui nous mettrait en PLS) tel un pas d’une simplicité inouïe.

Certains passages m’ont particulièrement marqué, comme par exemple lors des danses des différentes cultures au Royaume des délices. Pour la danse des Mirlitons la danseuse a fait plusieurs fois de suite un pas juste scotchant. Egalement lors de la variation du danseur en fin, il enchaine des grands battements avec pirouettes lors de sa réception au sol puis repart sur un grand battement/pirouette/grand battement/pirouette etc … et en formant un grand cercle dont il en fait 2 fois le tour …. j’étais sur le cul ! J’ai trouvé qu’il y avait une bonne connexion entre les deux danseurs principaux, et également avec le reste du Corps de Ballet.

Je vous engage vraiment, si vous avez l’occasion, d’aller voir ce ballet ou de le regarder ! Celui que j’ai vu n’a pas l’air d’être sorti en dvd, cependant un coffret contient une représentation avec d’autres danseurs, mais les décors semblent les mêmes.

Les cinémas Gaumont Pathé ont une bonne programmation 2017/2018 de projections de ballets du Bolchoï mais aussi d’Opéras du Metropolitan Opera de New York, et de pièces en direct de notre grande Comédie Française. Niveau prix ils varient, pour un ballet le tarif normal est de 30€, 18€ pour les étudiants, et 8€ pour les -14 ans. A savoir qu’avec le pass je n’ai pas eu à payer de supplément.

Et vous avez vous déjà été voir un ballet ?

 

Bécots ! Pauline xxx

Détente et douceur chez Rituals

(c) Pauline PINOT

De nature curieuse, j’aime beaucoup découvrir pleins de choses, et notamment faire la découverte parfois de boutiques dont je deviens vite accros…. Et l’une d’elle est Rituals.

“Your body, your soul, your rituals”

Cette marque m’était encore totalement inconnue il y a quelques mois. C’est une amie qui me l’a faite découvrir, et j’ai directement succombé à leurs produits ! Rituals a pour axe le bien-être à la fois du corps et de l’esprit, l’apaisement, dans l’alignement de la pensée du Dalaï-Lama.

Ouvrons nos chakras !

Le design de la marque est très épuré, et une large sélection de produits y est proposée. Plusieurs odeurs correspondantes chacune à un rituel se déclinent en produit de douche, de soin, de maison … Pour ma part après avoir senti chacune des odeurs j’ai jeté mon dévolu sur le rituel du hammam, un mélange entre romarin et eucalyptus qui amène au voyage. Premier achat fait : la mousse de douche ! Je connaissais le principe, pour en avoir vu en vidéo, mais je ne m’en étais jamais servie, alors quand j’ai vu qu’ils en faisaient, hop dans le panier ! Et lors du Black Friday, j’ai quelque peu été remettre le nez dans une de leurs boutiques parisiennes afin de faire plusieurs achats, dont certains pour Noël. (Les promos étaient très intéressantes !)

Les prix des produits sont relativement corrects et abordables à mon sens. Et moins chers que d’autres enseignes dans le même esprit. Au niveau de leur composition, bien que nous ne soyons pas sur du 100% naturel, Rituals essaie au mieux de créer des produits en accord avec la peau en évitant les composants pouvant être nocifs. Ils sont également contre les tests sur animaux, ce qui est très important. Autre point, leurs contenants sont travaillés au plus de manière recyclables et biodégradables, afin de nous permettre de prendre soin de nous sans laisser de traces trop importantes sur la planète.

 

(c) Pauline PINOT

 

En route pour le rituel du Hammam – une cérémonie purifiante pour le corps et l’âme.

Comme je vous l’ai dit plus haut, j’ai commencé à tester la marque en utilisant leur mousse de douche (8,50€). Je trouve cette alternative assez sympathique, il ne faut vraiment pas en mettre beaucoup pour obtenir une grande quantité de mousse onctueuse ! Ainsi votre bombe peut durer environ 80 lavages.

J’ai par la suite testé différents autres produits de ce rituel :

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

 

Certains des produits sont à utiliser quotidiennement, quand à d’autres ils s’utilisent 1 à 3 fois par semaine.

J’ai également eu en échantillon deux produits que j’ai ainsi pu tester :

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

Tous ces produits ont validé ma première impression, à savoir, une gamme assez riche en produits variés et de qualité. Les produits ont une véritable action sur la peau, et laissent un doux parfum sans être entêtant. Le tout pour un coût plutôt raisonnable.

 

Et vous connaissez-vous Rituals ?

Bécots ! Pauline xxx

 

 

En route pour 2018 !

(c) Pauline PINOT

Tout d’abord, BONNE ANNEE A TOUTES ET A TOUS !! Je vous souhaite une très bonne année pleines d’aventures et de bonheur !

Et oui nous voici déjà en 2018, et comme chaque année nous pouvons faire le même verdict, l’année est passée vraiment vite ! Alors aujourd’hui je vous propose de faire un point sur 2017 et s’imaginer 2018 !

Bye bye 2017 !

2017 a été une année assez calme, par rapport à 2016 où j’avais pas mal voyagé, mais pas mal d’aventures s’y sont mêlées. Cette année a marqué l’entrée dans ma dernière année d’étude, la découverte d’un poste qui me plait énormément, un premier stage dans le milieu qui m’intéresse, mon premier festival de Cannes, des avant-premières, des événements, des sorties, des belles rencontres, un festival de musique, des concerts, mon grand anniversaire … Mais aussi surtout le lancement de ce blog ! Un grand pas en avant !

C’était ma grande résolution de l’année dernière : monter et tenir mon blog. Cela faisait des années que je souhaitais me lancer et l’année dernière a été le grand départ. (J’avais expliqué mon travail autour du lancement du blog dans cet article). Voici maintenant 5 mois que mon blog est en ligne et que je travaille dessus, il m’a fallut pas mal de temps pour en comprendre tous les rouages, et aujourd’hui encore il m’en reste pas mal à apprendre. Je m’étais fixée d’écrire un article par semaine pour commencer à me créer un rythme, je l’ai plus ou moins tenu … héhé. En effet les semaines où je rentrais chez moi dans ma famille et que je revoyais mes amis, je préférais profiter de ces moments plutôt que d’être planchée sur mon clavier. J’ai pris un réel plaisir à écrire et partager tous les articles que j’ai pu écrire jusqu’à présent, de pouvoir partager des choses avec vous. Mon envie première était de partager des choses, et si cela pouvait intéresser une ou deux personnes j’aurais été aux anges ! Et grâce à un petit outils magique qui permet de voir comment marche le blog, j’ai pu me rendre compte qu’il y avait bien plus que 1 ou 2 personnes qui s’intéressaient à mon univers, et au-delà même de nos frontières, j’ai vu qu’on me lisait un peu partout dans le monde, ce qui m’a mis sur le cul et cela boost énormément pour continuer et vous écrire encore plus !

2017 étais aussi une année où je souhaitais découvrir encore plus de chose, me balader et me perdre encore plus dans les ruelles parisiennes. Et pour cela j’aime m’entourer  d’autres âmes aventurières, ainsi beaucoup d’amis sont venus passer de temps à autres quelques jours chez moi pour parcourir la capitale, j’ai parcouru les bars avec certains à la recherche du meilleur mojito pour finir à se dorer la pilule dans les parcs, avec d’autres j’ai fais la grosse bouffe et mangé comme à un réveillon de noël, j’ai fais découvrir Paris à des petits nouveaux, et j’ai aussi fait de superbes rencontres ! J’ai testé plein de nouvelles adresses, passé des journées au cinéma, visité de nombreux musées et expositions. Je suis aussi partie à la découverte d’endroits de Paris que je ne connaissais pas beaucoup et fait de belles découvertes.

(c) Pauline PINOT

Go 2018 !

Pas mal de chose au programme cette année ! Tout d’abord cette année marque la fin de mes études dans l’école où je suis actuellement, je vais également passer le concours de la Femis mais il faut être réaliste, il y a vraiment très peu de chances d’y être pris, mais on y croit on sait jamais ! Si je n’y suis pas prise, cela veut dire que ça va être la grande entrée dans le monde du travail (roulement de tambour). Donc grande nouvelle étape. Avant cela j’ai mon examen de fin d’étude à passer, mon mémoire avec soutenance, un quota de stage à remplir, afin d’obtenir mon diplôme ! Grosse année à venir donc sur le côté études/travail.

Et qui dit nouvelle année dit nouvelle occasion de prendre des bonnes résolutions (dans cet article j’évoquais les résolutions de septembre). J’ai décidé cette année de mettre un point d’honneur à l’aventure, j’entends l’aventure au-delà de Paris et de la France, car 2017 en a un peu manqué. J’adore les voyages, j’ai eu l’occasion de mettre les pieds dans plusieurs pays, et mon dernier voyage datant de 2016 cela me manque un peu. J’aime énormément aller à la rencontre de d’autres populations, d’autres cultures, voir d’autres paysages … 2-3 Voyages sont déjà en train de se dessiner pour cette année. Mon but est de faire pleins de voyages à moindre coût afin de découvrir pleins de nouveaux endroits ! Et pour cela, cette résolution s’accompagne d’une autre qui est la plus importante de l’année … Stopper ma phobie de l’avion ! Je ferais surement un article sur cette phobie dans les prochains mois, afin de vous parler de son évolution (positive on espère). J’ai développé une phobie de l’avion lors de mon avant dernier vol, un Paris – Dublin (de la gnognote ça passe comme une lettre à la poste vous me direz, vous avez raison haha),  mais depuis grosse phobie, impossible de mettre les pieds dans un avion, multiplication de cauchemars comportant des avions, pleins de crashs et le tralala on A-DORE ! Donc j’ai pris la décision de faire le stage contre la peur de l’avion, car il peut être en partie remboursé par la mutuelle, sinon je ne l’aurais jamais fait car c’est hors de prix … J’ai aussi fait l’acquisition du livre résumant ce stage. Avec ces outils en mains j’espère pouvoir ainsi reprendre l’avion cette année (c’est l’objectif), pour débuter, avec un petit vol, l’Ecosse serait très sympa, je pourrais ainsi me rendre sur le mètre carré de terre dont je suis propriétaire ! (a Lady story)

Je souhaite également continuer à visiter de plus en plus de lieux, d’expo, de musée, aller encore plus au cinéma.. Au programme des sorties attendues de l’année, le concert d’Ed Sheeran au stade de France ! J’ai énormément hâte, j’avais eu la chance de le voir à Bercy lors de sa dernière venue, et son concert était absolument magique, il arrive à lui seul à mettre une ambiance dingue, à faire un mix de moments plein d’énergie et des moments tout en émotion. En autre sortie j’aimerais beaucoup voir Juliette Armanet en concert, j’ai eu le vinyle de son album à Noel et il est fantastique ! J’aimerais également retourner dans des petites salles de spectacle, pour découvrir des artistes, comme je l’ai fait avec le spectacle d’Anne Sophie Girard. J’ai notamment envie d’aller voir le spectacle de Gus l’illusionniste, je l’avais découvert dans la France à un incroyable talent puis dans l’émission d’Arthur Diversion l’année dernière. Et en tant qu’énorme fan de Love Actually, j’avoue avoir été totalement sous le charme avec son tour de magie dans la dernière émission, reprenant la scène où Peter vient déclarer son amour à Juliette en se faisant passer pour une chorale de Noël. Il a un énorme talent et rend les tours beaucoup plus distrayant, et impressionnant. Et j’avoue, il a un air d’Hugh Grant très plaisant …

Niveau blog je souhaite m’investir encore plus dessus pour bien aborder le rythme que je souhaite lui donner, et travailler en relation mon Instagram et Pinterest.

Niveau forme, ayant des problèmes aux genoux je ne peux pas suivre des programmes de sport (à l’instar du TBC, ou Le BC), car ou bout de 2 séances mes genoux déclarent forfait… Je vais ainsi essayer de me créer mon propre programme avec des exercices non néfastes pour mes articulations de grand-mère. Et ayant eu récemment une planche de surf, je vais enfin pouvoir aller surfer plus souvent, et varier en paddle si les vagues sont timides. Pour cela on évitera les torticolis et entorses qui ont rythmées mes dernières vacances …

Voici ainsi quelques uns de mes nouveaux objectifs de cette année . Rendez-vous dans quelques mois pour en voir leur aboutissement !

Et vous, qu’avez vous prévu pour 2018 ?

Bécots ! Pauline xxx

Le crime de l’Orient Express : Menez l’enquête aux côtés de Kenneth Branagh !

(c) Pauline PINOT

Menez l’enquête aux côtés de Kenneth Branagh !

Le grand maitre de l’art Shakespearien revient au cinéma en nous livrant sa version de l’une des plus célèbres enquêtes d’Hercule Poirot !

Certain le connaisse pour ses films tels que Hamlet, Henry V ou bien encore pour son rôle haut en couleur du Professeur Lockhart dans le second volet d’Harry Potter, ou plus récemment dans Dunkerque pour son rôle du commandant Bolton. Quoi qu’il en soit, Kenneth Branagh n’a plus à prouver son talent tant d’acteur que de réalisateur.

Identité : Hercule Poirot.

Pour ma part, j’avais étudié plus jeune, lors d’un cycle d’étude, la littérature policière et notamment les romans d’Agatha Christie, ce qui nous avait amené à regarder plusieurs épisodes de la série consacrés aux enquêtes d’Hercule Poirot.

Cependant, bien que connaissant quelque peu l’histoire du meurtre de l’orient express, je n’en connaissais pas le dénouement. C’est ainsi que j’ai pu voir le film sans savoir quel était le fin mot de cette histoire, et me prendre au jeu de l’enquêtrice le temps d’un film.

Branagh and friends

Aux côtés du grand Kenneth Branagh nous trouvons un cast fabuleux composé de : Johnny Deep, Daisy Ridley, Michelle Pfeiffer, Judy Dench, Penelope Cruz, Josh Gad, Leslie Odom Jr., Willem Dafoe, Derek Jacobi …

La performance et direction des acteurs sont très justes, chacun y interprète un personnage bien singulier, limite caricaturé, donnant ainsi un esprit “cluedo”. Je souhaite notamment souligner le travail effectué pour le rôle d’Hercule Poirot ! Allez voir le film en VO, je comprends que certains n’aiment pas car le fait de lire les sous titres leur posent une distance avec le film en soit et l’image, mais pour le coup ce film doit être vu en VO pour y voir le travail que Kenneth Branagh a fait pour endosser son rôle. Il ne s’est pas juste contenté d’anglophoniser le personnage comme certain aurait pu le faire. Il a gardé ici le personnage comme étant un enquêteur belge, il parle donc français au long du film et anglais pour communiquer avec les autres personnages en abordant un accent français. Le tout avec une grande élégance, sans aller vers un accent belge caricatural style Dikkenek, (j’aime beaucoup ce film ne vous y trompez pas, je fait référence ici à l’accent très prononcé).

Christie VS Branagh

N’ayant pas lu le livre d’Agatha Christie, je ne peux pas réellement comparer les deux “versions” de l’histoire. Cependant au vue de ce que j’ai lu à droite à gauche, je peux vous donner quelques différences afin que les amateurs de l’oeuvre littéraire ne soient pas trop déstabilisés. Dans le film nous avons toute une introduction qui nous plonge dans l’univers de l’histoire. Un vol a été commis, une résolution de l’enquête se fait au pied du mur des lamentations par Mr Poirot dont nous faisons connaissance. Puis il s’en va en voyage, cela l’emmenant à l’Orient Express. Apparement cette introduction n’est pas présente dans le livre. Autres différences, un des personnages présent dans le livre n’est pas dans le film, et a été remplacé par un autre. Il semblerait également que l’accident du train restant bloqué à des dizaines de mètres au dessus d’un ravin ne figure pas dans le livre …

Kenneth Branagh étant un acteur venant tout droit du théâtre shakespearien, nous retrouvons ainsi donc dans son film une théâtralité assez présente, totalement assumée et voulue, ce qui peut déplaire à certain. Le train devient en soit la scène de théâtre sur laquelle se déroule le meurtre et son enquête. Nous avons également la présence de monologues, et de grande tirade, sur un rythme assez lent.

Pour ma part j’ai trouvé qu’il y avait quelques longueurs, notamment dans la mise en place de l’action, j’aurais préféré y entrer plus rapidement.

Le récit est bien tenu, pour ma part je ne me doutais pas du tout de l’aboutissement de l’enquête, et j’ai bien aimé que le mystère soit tenu jusqu’à la fin, nous n’en savions pas plus que Poirot et ainsi nous pouvions nous même “mener l’enquête” et se prendre au jeu, ce que j’ai beaucoup apprécié. J’ai quelque peu été perdue lors du règlement de l’enquête, où l’on nous donne beaucoup d’informations, dont des noms de pleins de personnes que l’on ne connait pas … Je n’en dirais pas plus pour ne pas vous spoiler !

Niveau image, que dire … Fou, dingue ? L’image est incroyable ! Nous avons une esthétique très tableau, le choix de tourner en 65mm se révèle très judicieux donnant une image éclatante et très nuancée, une profondeur. Le fait de limiter au plus les incrustations/images numériques sert beaucoup le film, avec en parallèle la construction de trains en état de fonctionnement, la construction d’un pont… Les plans extérieurs nous plongent dans une fraicheur hivernale, avec de superbes plans sur le train à travers les montagnes, nous faisant paraitre l’intérieur du train très cossus comme un endroit où il est bon d’y être au chaud, jusqu’au moment où nous comprenons qu’un meurtrier y est coincé avec nous … Nous avons des jeux sur le cadrage, la couleur et le noir et blanc, le son, un jeu de vu/non vu, qui nous accroche à l’enquête. Les décors sont très travaillés et offrent ainsi un cocon à l’histoire, de même pour les costumes, avec de belles matières et textures.

On monte à bord ?

Personnellement j’ai énormément aimé le film notamment pour sa mise en scène, niveau récit, comme je l’ai dit précédemment j’aurait aimé un rythme un peu plus soutenu et une plongée plus rapide dans l’action. Je conseille vraiment ce film, après l’aspect très théâtral et cluedo peut en déranger plus d’un.

 

Et vous, qu’en avez vous pensé ?

Bécots ! Pauline xxx

 

 

 

Liar, la nuit du mensonge : saison 1. Review

Un air américano-britannique souffle sur les séries en ce moment avec la nouvelle série que TF1 vient de diffuser ces deux dernières semaines.

Liar : mode d’emploi

C’est arrivée un peu comme une plume, après quelques jours de pub annonçant son arrivée, que la nouvelle série des frères Williams, connus entre autres pour The missing, a été diffusée sur nos écrans français. Une première saison composée de 6 épisodes d’une 50aine de minutes chacun, qui donne le ton à univers sombre prometteur d’une seconde saison.

Le pitch, simple et efficace : un homme et une femme ont un rencard, au réveil, cette dernière l’accuse de viol tandis que lui nie les faits.

Côté cast : Le rôle de l’homme, Andrew Earlham est interprété par Ioan Gruffudd, et la femme, Laura Nielson, par Joanne Froggatt. J’avais découvert Ioan Gruffudd à travers la série Forver que j’avais beaucoup apprécié et dont j’avais été déçue qu’elle ne connaisse pas de suite. J’avais aimé son jeu qu’il avait mis à contribution de son personnage assez complexe. (Il a également interprété l’homme élastique dans les 4 fantastiques.) Quand à Joanne Froggatt, je l’ai connu, il y a peu, pour son rôle d’Anna dans Downtown Abbey (j’ai vu les 2 premières saisons), c’est un personnage que j’ai beaucoup aimé, et que j’ai trouvé très attachant. Dans Liar nous retrouvons les deux acteurs dans des rôles forts, deux personnages assez complexes et tiraillés. J’ai trouvé leurs interprétations très justes, il y a eu un très bon travail sur la direction d’acteur. La femme incarnée par Joanne est à dix mille pas de celui qu’elle interprète dans Downtown, ce qui nous montre sa palette de jeu. Quand à Ioan Gruffudd on retrouve ici une force de jeu et notamment un travail du jeu passant par le regard assez impressionnant. Leur “binôme” fonctionne très bien à l’écran.

Côté du script

La saison 1 adopte un format de 6 épisodes. Ma première inquiétude, était comment allaient-ils réussir à faire durer sur 6 épisodes une histoire telle qu’elle nous était pitchée ? Car en soit 6 épisodes ça peut paraître peu, mais il faut bien remplir les 6×50 minutes pour maintenir en éveille le spectateur.

J’avoue qu’il m’a fallu un temps d’adaptation pour entrer dans l’histoire, ma mère a également ressenti ce processus d’immersion un peu difficile. (je reviendrais dessus par la suite, car cela est en grande partie dû à la mise en scène).

La saison 1 fonctionne sur une trame narrative principale : qui dit vrai ? la femme (clamant le viol), l’homme ( affirmant ne pas l’avoir violée). A celle-ci se mêlent plusieurs conflits autour des deux personnages principaux, qui viennent nourrir leurs backround, en parsemant les épisodes de petits détails par-ci par-là qui prennent sens par la suite.

L’intelligence de la série, est de nous inclure, nous spectateur, dans l’histoire, nous devenons à notre insu voyeur de ce qu’il se passe et nous nous laissons prendre au jeu d’enquêteur à essayer de trouver qui donne la vraie version. D’un point de vue de l’écriture, nous sommes jusqu’aux 10 minutes avant la fin du troisième épisode, dans un flou total, des soupçons naissent, et une personne nous parait être la/le metteur/euse manipulant tout. Ce que j’ai apprécié c’est que dans les 10 dernières minutes du 3ème épisode un détail, une parole, vient tout nous balancer en pleine figure. Et finalement la personne que je pensais tout manipuler n’était pas la bonne personne. Et j’aime cet aspect de twist dramatique. Les scénaristes ont très bien joués leur carte pour nous dévoiler l’identité de celle/celui qui ment. En une phrase on comprend tout, ils ont placé un énorme sous-texte dans ce dialogue et c’est extrêmement judicieux d’avoir agit ainsi car cela apporte encore plus de relief au personnage.

La série adopte également l’utilisation des flashbacks, qui nous permettent peu à peu d’en découvrir plus sur la nuit qui a tout lancé, et également cela nous permet d’en savoir plus sur les personnages. Cependant les flashbacks se perdent un peu au fur et à mesure des épisodes.

Au fur et à mesure des épisodes, les personnages se construisent des objectifs qui viennent les placer en opposition direct. Il y a comme un esprit de fatalité qui souhaite les rassembler. Nous sommes dans un esprit de “chasse” perpétuelle.

Plus la série avance et plus l’arène dans laquelle évoluent les personnages est traitée et s’expand faisant apparaitre de nouveaux personnages et donnant encore plus d’intensité à la “chasse”.

L’écriture du personnage mentant sur l’histoire, est très bien travaillée et en progression, nous découvrons de plus en plus ce personnage aux travers des épisodes, et nous le place comme antipathique.

Les épisodes montent en tension (parfois un peu trop lentement), pour nous emmener à un cliffhanger auquel je ne m’y attendais pas, et auquel beaucoup d’autres spectateurs ne devaient certainement pas s’y attendre. Cette fin m’a laissée assez songeuse, et beaucoup de questions me sont venues pour la suite de la série, qui repart pour une seconde et dernière saison.

 Du côté de la caméra

Niveau mise en scène, j’ai adoré le fait que l’on sente réellement la présence d’un réa aux commandes. Par cela je veux dire que, aujourd’hui tristement nous nous trouvons face à des séries trop de commande, passant sur les chaines de TV comme TF1, et à trop devoir coller à un moule on trouve des séries fades, sans aspect artistique, sans esthétique apparente, ni scénario novateur. Nous sommes sur des enchaînements de séries ressemblantes les unes aux autres, éclairées de la même façon, avec des découpages prévisibles et sans prises de risque. Il n’y pas de goût perceptible pour l’image.

C’est pour ça que Liar m’a plu. Nous avons une esthétique prédominante, il y a un réel travail de cadre et de sa composition, de la lumière … qui va en accord avec le scénario et le son. Les choix de cadrage viennent aider notre immersion dans la série. Nous sommes très souvent placés comme spectateur au sein même de la série, avec des positions de caméra “cachée” derrière des fenêtres, des encadrements de portes …. La caméra est également très mobile, et vient capter des détails des personnages, du décor en gros plan comme si notre regard se portait sur ces détails. Il y a aussi une utilisation de l’adresse caméra, par exemple lors du rencard lorsque les deux personnages se rencontrent, ainsi en s’adressant à la caméra les personnages se présentent à nous et nous incluent dans le récit et le processus de recherche qui va en découler.

Une des caractéristiques visuelles de la série se traduit par les nombreux plans zénithaux sur l’environnement de la série. Cet environnement est d’ailleurs une enveloppe à l’histoire. L’environnement est assez froid, la série se passe en bord de mer, les comédiens portent des vêtements chauds traduisant une température extérieure basse. Les tons sont froids, bleuâtres. La couleur bleu occupe une grande place dans la série, de par son aspect général, par les nombreuses scènes de nuit, la mer, les décors (chambre d’Andrew et celle chez la soeur de Laura).

Les décors viennent caractériser les personnages, parfois c’est un peu “gros”, si vous faite attention un énorme poster en dit long sur la nuit où tout s’est déclenché…

Une saison 2 ?

Alors oui la série repart normalement pour une deuxième saison. Il semblerait que celle-ci tourne autour du cliffenger de la fin de la saison 1, personnellement j’ai hâte de voir, car je ne vois pas trop comment poursuivre sur environ 6 autres épisodes cette histoire… Donc à voir !

Et vous, avez-vous regardé la série ?

Bécots ! Pauline xxx

Devenez reine et roi du burger !

(c) Pauline PINOT

Frichti is back

Je vous ai déjà fait il y a quelques semaines, un post sur Frichti et à quel point je les adore. Je reviens cette semaine avec un article, à nouveau lié à eux, et qui confirme mon admiration envers leur nourriture !

Je ne mange plus souvent au Mcdo, suite à une intoxication alimentaire; il m’arrive d’y aller de temps en temps mais rien à voir avec une période où je m’y rendais facilement toutes les deux semaines … Et d’avoir vu les pains des burgers sur les trottoirs en face d’un boulevard bien pollué, me donne maintenant une vraie réflexion avant de manger burger.

Une bonne adresse burger, sur laquelle je ferais bientôt un article, se trouve au marché des enfants rouges dans le Marais, un de mes endroits favoris de Paris et où j’emmène touuuut le monde ! Mais ça c’est pour un futur article, patience …

Un burger maison

Comme je l’avais dit dans mon précédent article, ce que j’apprécie chez Frichti c’est la qualité des produits, et ici vous allez être conquis(e)s !

Ils lancent de plus en plus des principes de Kit, il s’agit d’un kit dans lequel se trouve tous les ingrédients nécessaires à la réalisation d’une recette : galette, pizza, et … Burger !

Leur kit burger est sorti il y a peu. J’ai mis un moment avant de le tester car il est pour 2, et vivant seule je devais donc me préparer à faire burger 2 jours de suite, et le prix aussi me repoussait un peu : 16,90€ le kit.

J’ai finalement cédé dimanche dernier … Et le résultat était plus qu’à la hauteur de mes espérances, et le prix se justifie.

Une fois que le livreur ait trouvé mon adresse, ce qui a été un calvaire, il est passé 5 fois devant chez moi sans s’arrêter, en même temps comme il était au téléphone avec un pote il ne devait pas trop avoir la tête à livrer les commandes….. (mais bon généralement les livreurs travaillent bien les autres fois).

 

(c) Pauline PINOT

 

J’ai reçu le tout emballé dans des petits sacs kraft :

  • deux pains à burger
  • deux steaks de boucher (énorme)
  • une sauce maison
  • un confit d’oignon
  • une tranche de fromage
  • une recette

3, 2, 1 … Burger !

Tous les ingrédients présents, il ne vous reste qu’à suivre la recette et en 10 minutes environ votre burger est fait !

Les étapes sont très bien expliquées, tout est clair, et simple à faire.

Dans un premier temps il faut cuire le steak, dans ce laps de temps profitez-en pour couper votre pain en deux, et de faire fondre votre fromage légèrement, préalablement coupé en tranches. Une fois cuit à votre souhait, retirez le steak et mettez à dorer votre pain légèrement sur la poêle. Ensuite, venez déposer la sauce sur les deux faces de votre pain, et faites revenir dans la poêle le confit d’oignon. Assemblez ensuite le tout et le tour et joué !!

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

 

Verdict :

Un régal !! Un mélange de saveurs absolument exquis. Nous avons des vrais produits, du vrai pain et non pas un truc écrasé style mcdo, les produits sont de qualité, le confit et la sauce sont très bien préparés.

Le point intéressant est que tout est prêt pour être cuisiné, donc nous participons tout de même à l’élaboration du burger, mais nous n’avons pas  à aller faire les courses. Egalement nous pouvons gérer la cuisson de chaque partie du burger à notre convenance.

Niveau prix, bien que j’étais assez freinée par le prix, si l’on regarde le burger revient à environ 8€ pièce, et est au même prix environ que d’autres endroits proposant des “vrais” burger. Et au vue de la qualité, le prix se tient.

Il serait peut-être bien cependant de proposer des kits pour juste 1 seul burger.

Donc si vous souhaitez un bon burger, je vous incite fortement à commander ce kit qui ravira vos papilles.

 

(c) Pauline PINOT

Et vous, vous faites Frichti aussi ?

Bécots ! Pauline xxx

 

Dimanche 12H, Le Marais : Brunch entre potes au Season

(c) Pauline PINOT

To eat or not to eat.

Une grande tendance qui nous vient tout droit des USA et d’UK : Le Brunch ! Une idée fantastique, dont le concept est simple : se retrouver en famille, ou entre potes le dimanche, ne pas prendre de petit déjeuner et partager ensemble un énorme repas qui remplace le petit déjeuner et le déjeuner.

The place to go !

Le brunch peut très bien se prendre chez soi (petit souvenir de Gossip Girl où ils faisaient des brunchs immenses chez les Van Der Woodsen), mais de plus en plus nous trouvons des restos qui en proposent, avec une carte spéciale brunch proposant des formules très intéressantes. En plus de 2 ans sur Paris je n’avais toujours pas eu le temps d’en faire un ! C’est alors que le week-end dernier, lorsque mes deux meilleures amies sont venues me rendre visite, que nous avons fait une virée dans le marais pour bruncher !

Niveau endroits, ce n’est pas ce qu’il manque sur Paris ! Cependant mes amies rêvaient d’énormes pancakes, et je savais, pour y avoir été plusieurs fois, que le Season se révèle être un bon repère pour les énormes pancakes, et les amateurs de bons produits. Car au-delà de leurs pancakes de folie, ils proposent de très bons plats/jus/desserts etc …

Nous nous y sommes rendues vers les coups de 11h45, tout en sachant que l’on risquait de devoir attendre en vue de l’affluence qu’il y a. Chose qui n’a pas manqué car nous avons attendu près de 2h ! Nous en avons profité pour aller dans un café juste en face, le Café Crème, mais nous n’avons avait très emballées par l’endroit ( petite note pour les futurs clients, leur boisson chocolatée viennoise n’est pas un chocolat chaud avec du lait, elle a gout d’eau … Et niveau chantilly de l’aspect viennois, nous ne l’avons pas vu ! Surement un soucis lors de la commande). Mais bon je pense y retourner pour tester leur nourriture et ne pas rester sur cette mauvaise vision du lieu.

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

 

2h plus tard, et un ventre affamé.

Le point positif est que l’on était affamées au moment d’entrer, et également les 2h d’attente nous ont servies à choisir ce que l’on voulait prendre donc aussitôt assises nous avons passé commande. (Je dis respect à la personne qui a passé sa journée dans le froid devant le season pour gérer les réservations !)

Pour ma part je suis partie sur des toasts avocat/saumon ainsi qu’une Shakshuka. Les toasts avocat/saumon sont une grande passion, et c’est en voyant une photo de leur shakshuka que j’ai eu envie de tester. Il s’agit d’un oeuf poché entouré de patates douces, sauce tomates, épices, et cela peut être accompagné de viande (de merguez au season). Quand à Mathilde, elle a pris une salade de saumon marinée et des pancakes caramel, et Angela, repas full pancakes avec ceux au caramel et d’autres avec du bacon.

Nous n’avons pas eu à attendre trop longtemps pour recevoir nos plats.

Et le résultat : un repas passé dans le plus grand des silences ! Tellement nous avions faim et que c’était un régal nous étions comme les candidats de Koh Lanta quand ils s’enfilent une entre-côte frite après 30 jours de survie ! Un délice !

Les portions sont assez généreuses, et j’avoue que je n’ai pas pu finir le shakshuka. Les produits sont de qualité et très bien cuisinés.

Niveau prix, c’est ici que les avis à propos du season sont toujours assez mitigés. Leur carte est assez chère, mais en vue de la qualité des produits, le prix peut se justifier pour certaines choses. Mes toasts étaient à 12€ (pour le coût cher à mon goût) et le shakshuka à 9€ (ça passe). Je me souviens par contre avoir payé un acai bowl 10€ et un café froid 4,50€ et pour le coup c’est vraiment cher…

Mais bon, lorsque l’on regarde le prix moyen de ce genre d’endroit assez tendance, les prix sont tous dans la même fourchette environ.

 

(c) Pauline PINOT

(c) Pauline PINOT

 

Ca brunch ?

En tout cas, je vous conseille vraiment le season si vous cherchez un endroit où bruncher dans Paris !

 

Et vous, vous brunchez où ?

 

Bécots ! Pauline xx